la Nouvelle-Zélande
>>>
Géographie
> La Nouvelle-Zélande se
compose essentiellement de deux îles, l'Ile du Nord et l'Ile du
Sud (ce sont les vrais noms). Elles sont toutes le deux très
montagneuses (altitude supérieure à 3000m). Comme pour
l'Australie, la population néo-zélandaise est surtout urbaine
(env. 80%) et anglo-saxone. Les maoris représentent quand même
plus de 10% de la population (mais il ne répondent plus au
questionnaire du recensement national depuis 2045, cf plus bas).
> Le climat de la Nouvelle-Zélande n'est pas très brillant,
avec des températures entre 7° celsius (juillet) et 19°
(janvier), et des précipitations plutôt importantes, de l'ordre
de 2000mm par an. Ca a l'avantage d'être moins exotique que le
climat australien pour nous autres pauvres européens. L'Ile du
Nord est aussi le lieu occasionel d'éruptions volcaniques et de
tremblements de terres.
>>> Le
pouvoir néo-zélandais
> D'un strict point de vue
technique, la nouvelle-Zélande a une assemblée législative, la
Chambre des représentants (120 membres élu pour 3 ans à la
proportionnel mixte) et, depuis la constitution de la
Fédération Australasienne, un gouvernement éxécutif local,
constitué du Secrétaire d'Etat (élu pour 5 ans au sufrage
universel direct) et de son cabinet (à l'organisation beaucoup
plus souple que le classique ensemble de ministères).
Considérant l'autorité de la Fédération et les mesures
spéciales instaurées par l'état-major australien, il ne leur
reste pas grand chose à décider. De plus, un délégué du
gouvernement australien et le commandant en chef des troupes
australiennes stationnés en Nouvelle-Zélande ont un droit
"de regard" sur les actions du cabinet.
> Car depuis 2042, suite aux troubles insurectionnels qui
avaient éclaté en Nouvelle-Zélande, le gouvernement
néo-zélandais avait fait appel à l'aide des australiens et des
britanniques pour l'aider à ramener la calme. Les britanniques
ont depuis longtemps plié bagage, mais les troupes australiennes
restent, parce que le gouvernement australasien considére que la
Nouvelle-Zélande reste trop instable, ce qui est une menace pour
la survie de la Fédération.
> Evidement, les australiens restent là pendant 20 ans, la
première chose que vont voter les néo-zélandais quand ils
partiront, c'est de se séparer de ces voisins envahissants.
Même si il le voulait, le gouvernement néo-zélandais ne
pourrait l'empecher par la répression, les trois quarts des
forces armées néo-zélandaises se trouvant en Australie comme
forces d'interposition. D'un autre coté, tant que les groupes
protestataires continueront les actions terroristes dans la
Fédération et ailleurs dans le monde, l'ONU continuera
d'approuver l'occupation du pays. La situation ne semble pas
pouvoir trouver d'issue.
> Dans ces conditions, entre occupation militaire et
terrorisme, la situation est tendu à l'extrême. Tension qui
retombe en bloc sur les épaules de la police. Attention, les
flics de Nouvelle-Zélande sont EXTREMEMENT nerveux. A priori,
ils detestent plus les militaires australiens que les terroristes
ou mêmes les runners, mais ils ont aussi des comptes à rendre.
>>> Détail
de la situation intérieure
> Le début de la
contestation en Nouvelle-Zélande remonte au début de années
trente. Il commençait à devenir évident que la
Nouvelle-Zélande ne gagnait pas grand chose de la Fédération,
et les actions du gouvernement australienne contre les
aborigènes ont choqué l'opinion publique, içi encore plus
qu'aillleurs dans le monde, en particulier la population maoris,
à l'époque proche des aborigènes. Les groupes de contestation,
anglos ou maoris, demandaient au gouvernement de se retirer de la
Fédération et de cesser de cautionner la politique
australienne. Après des années de protestations, la répression
violente de plusieurs manifestations en 2042 a mis le feu au
poudre : d'abord des émeutes, puis l'insurection (avec des armes
de guerre fournies par des groupes aborigènes). Il a fallut un
an aux militaires britanniques et australiens pour y remettre bon
ordre, et rendre les clés au gouvernement.
> Une fraction dure
de la contestation s'adone aujourd'hui au terrorisme. Ce
terrorisme néo-zélandais vise avant tout les troupes
australiennes stationnés en Nouvelle-Zélande, mais sort
aussi des frontières : en Australie évidement, mais
aussi à l'autre bout de la planète. Le plus important
de ces groupes, le FNZ (Free New Zealand) est parfois
considéré comme l'IRA du XXIe siècle. Dans le même
temps, de nombreux néo-zélandais ont choisi la voie de
l'exil. 600'000 (plus de 10% de la population !) d'entre
eux ont déjà trouvé refuge à l'étranger. > Les maoris, qui se sont équipés en importance de matériel militaire, on finit par prendre le contrôle effectif de l¨Ile du Sud (ou au moins de l'intérieur). La nation maori, qui n'est pas officiellement reconnue, n'acceptera la réunification avec la Nouvelle-Zélande que quand celle-ci aura repris sont indépendance intégrale. Il a une scissions assez net avec les activistes anglos qui reprochent aux maoris d'avoir abandonné leur cause néo-zélandaise et aborigène au profit de le seule cause maori. |
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Groupe : néo-zélandais Tendance : rebelles Composantes principales : Free New Zealand, Nation Maori. Leaders : FNZ : Douglas Whilmore (incarcéré), Maori : inconnu Aire d'action : Australasie, monde Soutien : éxilés néo-zélandais, nation aborigène, Hawaii, Amazonie Moyens - humains : B - matériels : A - financiers : C - magiques : C |
> Les troupes d'occupation australiennes de l'Australian Armed Force ont un mandat leur demandant de maintenir l'ordre avec les moyens nécessaires. L'état-major n'a pas envie de contrôler la moindre parcelle du territoire, mais dès qu'un point chaud est detecté, nids de terroristes, soldats maoris ou manifestations, ils déploient un contingent de troupes, générallement pas habitué à gérer les civils. Dès que c'est fini, ils remballent et rejoignent leur base en préfabriqué. Les militaires australiens ne sont pas beaucoup plus satisfait de la situation que les néo-zélandais, mais les pertes subit dans les attentats commencent à peser lourd dans la balance.