Egypte - Economie
L'économie Egyptienne repose actuellement
essentiellement sur l'agriculture sur les rives du Nil (coton et
cannes à sucre pour l'exportation), une exploitation accrue des
ressources minières et pour grande part le tourisme. Les
mégacorporations soutiennent une bonne part de l'économie
egyptienne, qui reste pourtant encore déficitaire.
La monnaie égyptienne, anciennement la Livre egyptienne, a été
renommé dinar égyptien, pour mieux marquer le changement après
le passage de la République arabe d'Egypte à la République
Unie d'Egypte en 2034. La subdivision est resté le piastre (1
dinar = 100 piastres) Le cour du change avec le nuyen est
actuellement alentours de 6 dinars pour un nuyen.
Les Corpos en Egypte
Considérant la stabilité actuel du continent africain, des pays aussi "stable" que l'egypte ont tendance à attirer une bonne part des investissements des corpos. en l'occurence, l'Egypte est le centre économqiue du Maghreb. Mais surtout, le pays est devenu, entre les seigneurs de guerre de centre-Afrique et les Desert Wars, une sorte de centre mondial de la recherche militaire. Le salon de l'armement qui se tient à Alexandrie tous les ans (parfois, comme en 53, le salon a lieu au Caire, suite à des fuites dans la sécurité) est l'un des plus important au monde. Enfin, plusieurs des corpos disposent dans le sud-ouest de l'Egypte d'installations militaires utiliser dans le cadre des Desert Wars.
Ares
Macrotechnology (UCAS) Directeur (Afrique) : Colonel Nazih el-Kassem Installations : Alexandrie (QG), Khartoum Activités : armement, sécurité Sécurité / forces militaires : AAA |
Aztechnology
(Aztlan) |
EADS (France) Directeur (Afrique) : Michel de Pernally Installations : Alexandrie Activités : armement, recherche Sécurité : AA |
Fondation Atlante
(CAS) Directeur (Egypte) : Nassim Erouan Installations : le Caire (QG), Alexandrie Activités : recherches archéologiques Sécurité : AAA |
Industries
Esprit (France) Directeur (Afrique) : Gabriel Rhabani Installations : Alexandrie Activités : armement, recherche Sécurité / forces militaires : A |
Mitsuhama
Computer Systems (Japon) Directeur (Maghreb) : Moussa Bishari Installations : Alexandrie (QG), le Caire, Suez Activités : chimie, transports, telecommunications Sécurité / forces militaires : C |
Renraku
Computer Systems (Japon) Directeur (Egypte) : Luc Barnett Installations : le Caire (QG), Alexandrie Activités : agronomie ("Sahara Vert"), armement Sécurité / forces militaires : AA |
Saeder-Krupp
(Allemagne) Directeur (Egypte) : Adnan Nassef Installations : Assouan (QG), Alexandrie Activités : énergie (barrage d'Assouan), armement Sécurité / forces militaires : AAA |
Shiawase
Corporation (Japon) Directeur (Maghreb) : Kohiro Tanabe Installations : le Caire (QG), Louqsor, Alexandrie Activités : exploitation minière, armement Sécurité / forces militaires : B |
Trans-Global
Operations (Australie) Directeur (Egypte) : Michael Rendys Installations : Suez Activités : "recherche et prospection" Sécurité / forces militaires : A |
L'exploitation des ressources
L'Egypte maintient une économie en forme sur un territoire aussi inhospitalier entre autre grâce à l'exploitation des ressources souterraines. Le pétrole d'abord, même si il n'est plus le produitroi d el'économie mondiale, reste une source der evenus importantes Les gisement sencore exploitable se trouvent sur les rives du Golfe de Suez, et raffiné en Egypte, à Daniette ou Suez, ou transféré par l'oléoduc SUMED (SUez-MEDiterrannée) à Alexandrie (là, les raffineries appartiennent à Saeder-Krupp et Misuhama). Du sol égyptien, on extrait également du gaz naturel, et du minerais. Dans la région qui borde la mer rouge, on trouve du phosphate, du tungstène, de l'or, du fer, du chrome (ouais, le truc qui décore tes implants) du manganèse et du molybdène, pour les deux derniers, l'Egypte représentants à l'heure actuel une bonne part des sources des mégacorpos.
Le canal de Suez
Le deuxième canal le plus fréquenté du monde après celui de Panama. Aujourd'hui, les 161 km de canal, et leurs rives sont la propriété de la Compagnie du Canal de Suez, dont les actionnaires sont à part égale le gouvernement égyptien et la Zurich Orbital Gemeinshaft Bank. Ca a été le meilleur moyen trouvé pour maintenir la neutralité du canal dans l'économie mondiale. La Compagnie est aussi la plus petite compagnie dans le monde a bénéficier de l'extra-territorialité corporatiste. Les règles sont claires : toutes nations ou corpos qui effectuerait la moindre aggression dans les eaux du canal ou à ses abords, serait passible de représaille. Pour les corpos, c'est directement l'Ordre Omega de la Corporate Court (certains voudrait qu'il en soit de même pour la canal de Panama, mais Aztechnology bloque toutes les propositions). Par contre, la Compagnie n'a jugé utile de poser des lois concernant les actes individuels comme le trafics de drogues ou l'assassinat. Autant dire que les rives du canal en voient passer de belle...
Le plus grand projet agronomique du XXIe
siècle est sans nul doute le projet "Sahara Vert". Son
but est de parvenir à cltiver dans le désert. Pour l'instant,
il n'en est toujours qu'à sa phase d'expérimentation, tant le
nombre de problèmes imprévus surgissant chaque année est
important (sans parler des tentatives de sabotages corporatistes
et écologistes).
Lancé en 2031 par un accord entre le gouvernement Egyptien et
les sociétés JRJ International et Trans-Global Operations, le
projet a mobilisé pendant 7 ans certains des meilleurs
généticiens, agronomes, hydrologues et biologistes du monde
pour mettre au point les espèces végétales et les
infrastructures nécessaires à leur culture. Le projet
regrouppait en fait plusieurs projets parallèles (cultures en
surface, sous serre, en complexe souterrain, ...). Des sommes
considérables ont été investi dans le projet, mais bien
inférieures aux bénéfices espérés au final, que ce soit dans
le Sahara ou dans d'autres déserts, mais surtout dans d'autres
conditions extrèmes comme les aquadomes, la Lune ou même Mars.
En 2038, le plus mortel des attentats de l'histoire égyptienne
survient à Alexandrie : une bombe d'une formidable puissance
explose en plein dans le centre-ville : plus de 200 morts, dont
plusieurs des chercheurs clés du projet en réunion. Le coup
signe la mort du projet : JRJ International se retrouve en
faillite (ce qui met fin au contrat avec le gouvernement
egyptien) après que le cours de ses actions se soit
effondrée... pendant trente minutes, avant que Fuchi ne rachète
la société. Trans-Global se retire également du projet, en
payant au egyptiens les colossales indemnités de rupture de
contrat (n'empèche que les travaux réalisé pendant Sahara Vert
rapportent aujourd'hui des millions à Trans-Global pour ses
contrats d'arcologies sous-marines).
Le projet reste stoppé jusqu'en 2045, quand Renraku et les
Industries Fontainebleau proposent aux gouvernement égyptien de
reprendre le projet. Cette fois, l'optique de recherche est
complètement différente : bien que ce basant sur les travaux
préscédents (nottament sur la plan génétique), il s'agit de
soutenir la croissance des plants par la magie. L'effectif de
recherche comporte maintenant presque une moitié de magiciens
français et britanniques : des mages hérmétique chargé de la
recherche fondamentale, et des druides opérant sur le terrain.
Les récoltes du site d'Assouan des deux dernières années ont
été approuvé par l'OMS, mais les coûts de production sont
encore de plusieurs fois le coup d'une simple importation, même
venant de l'autre bout de la Terre.