Règle 1 de l'information: confirmer la source
Règle 2: surveiller et attendre les transferts
Règle 3: ne jamais atteindre la péremption
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>>> Les Etats Allemands ont un service de sécurité, le BIS (Bundesamt dur die Innere Sicherheit, l'office fédéral pour la sécurité intérieur). Ils infiltrent de nombreux agents, surtout dans les corporations, et collectent ainsi une quantité appréciable d'information. Mais l'organisation structurelle interne de l'Office empèche de les exploiter correctement. Chaque division a la responsabilité d'un état allemand, ce qui est certe plus efficace sur la sécurité de manière ponctuelle, mais absolument pas d'un point de vue global. Pour l'anecdote, les chefs ont les titres assez inhabituel de Président et Vice-président, et chaque division dispose de deux départements de lutte anti-terroriste, terrorisme de gauche, et terrorisme de droite (dans cet optique, les écologistes et les pan-européens sont tous de gauche, un raciste humain est de droite mais un elfe raciste est de gauche...). >>> Depuis la période 1946-1956, le service de renseignement extérieur allemand a toujours été, quelque soit son nom, usuellement désigné sous le nom d'Org "Gehlen". Elle existe toujours, mais l'Alliance des Etats Allemands n'a jamais rendu officielle l'existence de son service de renseignement (au contraire de l'ancienne République Fédérale). La manque d'accords des Etats Allemands sur la politique extérieur ne lui permet pas de toute façon d'opérer de manière aussi importante que le BIS. |
>>> La DST (Divisão da Segurança do Territorio, a ne pas confondre avec la DST française) est l'équivalent d'un ministère qui gère à la fois les forces de défense, essentiellement une artillerie magique monstrueuse et des unités de reconnaissance, et le contre-espionnage. C'est là que sont concentrée les plus rationels et les plus terre à terre (et les plus ambitieux) du gouvernement amazonien. La division a beaucoup trop de travail en dehors du renseignement pour y être efficace. Elle possède néamoins beaucoup d'informateurs et d'agents infiltrés (parfois très haut) dans les gouvernements de pays du tiers monde. Il noyaute de même pas mal des mouvements écologistes modérés en Europe. >>> Le renseignement extérieur et la "promotion des idéaux qui ont présidé à la constitution de la Nation Amazonienne" ont été confié à la SIA (Serviço da Informação e da Ação). Ce sont donc eux qui financent et entrainent presque tous les groupes écoterroristes dans le monde (à part TerraFirst! et quelques groupes elfiques avec qui ils entretiennent une haine tenace). En fait, ils ont des accointances avec des groupes terroristes de tous horizons : les écologistes, mais aussi avec les néo anarchistes, les pan-européens, les amérindiens, les pan-islamistes comme les rebelles touaregs, et ainsi de suite... Les passeports diplomatiques amazoniens se retrouvent entre les mains de pas mal de monde. A l'occasion, le service accomplit lui-même des actions clandestines sous le couvert de groupes terroristes. |
>>> Le Chief Information Officer du conseil d'administration d'Ares dirige l'Ares Intelligence, bien que ses moyens soit au sein de Knight Errant. Ca n'a pas toujours été le cas, mais les relations avec la CIA sont très bonnes, ils collaborent nottament en Amérique Latine et dans les nations amérindiennes. Dernièrement, leur interet s'est focalisé sur les réseaux qu'entretiennent certains membres de la direction d'Ares, Roger Soaring Owl et Arthur Vogel pour ne pas les citer. >>> La division Ares KE Intelligence de l'Ares Int fournit spécifiquement aux forces policières et militaires de Knight Errant leur renseignement opérationnel. Ce sont eux qui sont derrière le déploiement des Firewatch Teams d'Ares. Ils sont très présents en Afrique et dans une moindre mesure en Asie, mais n'interviennent pas dans les relations amérindiennes du VP Executif de KE Soaring Owl. >>> L'Ares Int chapeaute également l'Ares Technologic Surveillance, le service de veille technologique et d'espionnage industriel, d'existence plus ancienne, et qui est indépendant sur le plan matériel, de Knight Errant. Ce service couvre également quelques laboratoires de recherche et d'analyse, nottament dans le domaine (on s'en serait douté) de l'armement. |
>>> Le sommet du renseignement australien est l'ONA (Office of national Assessments), directement subordonné au Prime Minister. Il supervise et dirige occasionellement les autres services, et mène de lui-même quelques opérations extrèmement confidentielles. Le renseignement magique, plus particulièrement sur le territoire australien, est de son unique ressort. >>> Les services depolice fédéraux et l'ASIO (Australian Security Intelligence Organization) ont été fusionné en 2031 pour former AISE (Australian Intelligence & Security Enforcement). Les contrats de police australiens sont attribués a diverses compagnies privées, et l'AISE s'est concentré d'une part sur le contre-espionnage et autres opérations de renseignement, d'autre part sur les déploiement de forces para-militaires. La majorité de son personnel est recruté après avoir travailllé ou pour l'armée, ou pour les services d'une corporation (tout en se méfiant des plus influentes). Une partie du budget de l'AISE terminerait sa course dans les ombres et le terrorisme. >>> Le service de renseignement extérieur australian, le MO-9 a disparu officiellement avec la dissolution de l'ASIS (Australian Secret Intelligence Service) lors de la réforme de 2031. Il a très probablement été transféré au sein de la struture de l'AISE, de manière tout à fait officieuse. Swan Island serait la centre des opérations de renseignements extérieurs australiennes. >>> La DIO (Defense Intelligence Organization) est la structure de renseignement militaire australien. C'est la part la plus active des forces armées australiennes. Elle inclut nottament le Defense Signals Directorate, qui est le 2e plus gros participants à ECHELON derrière la NSA, et le soutien opératif du 1st Australian SAS. |
>>> La paranoia de la corporation a donné l'ACS (Aztechnology Corporate Security). L'ACS est en fait aussi bien en charge des opérations militaires que du renseignement et de la sécurité à tous les niveaux, pour Aztechnology et Aztlan. La majorité des 150'000 personnes de son effectif sont en fait des troupes militaires et para-militaires de sécurité (selon un shéma assez proche du KGB d'ailleurs). Néanmoins, l'ACS est présent sans dans tous les domaines, et c'est la sécurité qui prime sur l'acquisition de renseignement. Ils disposent d'un grand nombre de paranturels et de magicienss, qui sont des spécialistes de l'interdiction astrale et des sondes mentales, meme si l'ACS a aussi des experts dans des approches plus technologiques de la psyché. En orbite, les satellites de surveillance sont asez nombreux pour que les sites les plus chauds soit toujours sous le regard d'au moins trois satellites différents. Au sol, la Garde Leopard et la Garde Jaguar sont les forces spéciales, discrètement déployés. Le bataillon des Léopards (environ 400 soldats) constitue l'élite, mais ils ne sont jamais déployé hors d'Aztlan. Dans le détail, les mages de sang au service d'Aztechnology sont ne sont d'une manière générale pas lié à l'ACS.
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>>> Les agents de Boeing Security Department ont trop fréquentés la CIA, et ca se sent. Ils n'hésitent jamais à entreprendre des opérations massives, dont le renversement du gouvernement malaysien. Rien de subtil, très visibles, mais souvent aussi bien ficelées, et donc très dures à prouver sur le plan légal. L'industrie militaire comme l'industrie civile (à cause d'Airbus) sont toutes deux très bien protégés, et parfois de manière active. La politique en matière d'interrogatoire est particulièrement brutale. |
>>> Depuis sa création, l'Intelligence Service californien a eu des liens avec les services japonais (elle possède d'ailleurs une organisation similaire). Dans la situation actuelle, l'IS se reorganise comme il peut. Techniquement il dépend toujours du gouvernement de Sacramento et pas du Protectorat de Saito. Toutes les opérations sont cloués au sol en l'état. |
>>> Le DSI (Department of Strategic Intelligence) est le service de renseignement extérieur des CAS. Il traîne encore derrière les mauvaises images de la CIA et de la NSA, mais sans en avoir garder les mauvaises habitudes (elle a par exemple été longtemps soupconné dans l'affaire Bennett). Pour l'instant, son potentiel est franchement sous employé, à part quelques missions bien chaudes en Aztlan, et de nombreuses destabilisations aux UCAS. Le Confedered Surveillance System pratique le renseignement électronique (écoutes, piratages) et la reconnaissance satellite. Il est également à la pointe du renseignement astral, à force de se frotter aux aztlaners. Depuis 2044, le CSS participe au réseau ECHELON de la NSA. >>> Le DDI (Department of Domestic Intelligence) fait l'équivalence avec FBI, ATF, l'OCTF et Secret Service. Entre donc dans ses attributions le contre-espionnage et l'anti-terrorisme. Le Confederation Secret Service protège les officiels des CAS et enquetent sur les crimes matriciels (parfois en conflit avec le CSS). Les Criminal Deterrence Operations ciblaient à l'origine le crime organisé, puis les "organisations à visées criminelles", ce qui autorise plus de frappes préventives. Depuis l'affaire Bennett, le DDI a suffisament de moyens et d'autorité pour demander régulièrement aux autres services (qui le prennent plus ou moins bien) s'ils ont besoin d'un soutien. >>> Les renseignements militaires (Military Intelligence) s'occupent des actions des forces spéciales dont celles "suggérées" par l'IOA (qui ne veut pas se mouiller) en plus du renseignement classique. Ils sont à l'origine de la coopération avec les services de renseignement Pueblos. |
>>> Le service de renseignement de la CATCo est appelé les Séraphims. Leur réputation dans le monde du renseignement est bien plus importante et plus ancienne que celle de leur compagnie dans le public. Ils se classent parmi les meilleurs, et le sont probablement. Le P-DG et fondateur Lucien Cross est un ancien espion, et la réussite de sa compagnie tient beaucoup au gens dont il s'est entouré pour l'espionnage et les opérations clandestines. Leurs domaines de prédilection sont la manipulation financière, le Québec, les opérations contre Ares et la protection rapprochés des dirigeants de la CATCo. |
>>> La firme française de matériel militaire a toujours eu des liens avec le Ministère de la Défense français, l'armée et la DGSE, et est désormais la propriétaire des réseaux Total-Elf. Le SDEI (Service de Documentation Esprit International) est chargé de la collecte et de la protection des données de la corporation, donc de l'espionnage et du contre-espionnage. Leur deux bases principales sont à Djibouti et Singapour, mais le gros de leur tache reste la protection des technologies militaires développés par Esprit. |
>>> Toutes les activités d'espionnage et de contre-espionnage extérieurs sont à la charge de la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieur). Dans le cadre de ces objectifs, le DGSE agit également sur le sol français. Ses effectifs militaires pour les opérations spéciales proviennent des Centre d'Entrainement Parachutistes, encore désignées sous le nom de 11e Choc. Elle dépend du Ministère de la Défense, et agit de concert avec Esprit Industries. >>> La DRM (Direction du Renseignement Militaire) réalise les opérations de renseignement militaires. Son activité se concentre sur la gestion des satellites d'espionnage et la surveillance de terrain des zones de déploiement de l'armée française, en premier lieu la Guyane. La DPSD (Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense) est le plus discret des services français. Son champ d'action couvre pourtant la lutte contre le terrorisme, le contre-espionnage et les trafics d'armes, dès lors que la défense française peut-être impliquée. >>> Les RG, les Renseignements Généraux, est l'organe de renseignement la Police francaise. Ils sont très indiscrets, à toutes fins utiles pour la Police ou le gouvernement. La Sureté, la DST (Direction de la Sureté du Territoire) qui appartient également à la Police, assure la sécurité intérieure, contre-espionnage et anti-terrorisme. A l'identique de la DGSE, elle agit de manière globale, en France comme à l'étranger. |
>>> Comme sa rivale Renraku, les capacités d'espionnage de Fuchi reposaient essentiellement sur une exploitation massive de technologie : piratage informatique, satellites espions, super-ordinateurs de collation des renseignements, et un usage immodéré par ses agents d'implants sensoriels et télécoms. Si Fuchi était ainsi bien informé sur les activités de ses concurrents, elle a toujours eu des lacunes énormes quand à la protection de ses propres secrets. Tout ce matériel a été apprement disputé avec l'éclatement de Fuchi. Plusieurs satelittess espions, dont toutes les factions avaient les codes de contrôle, sont maintenant propriété d'une petite société, l'Orbital Electronic Vision, appartenant pour un tiers à Novatech, un tiers à Renraku et un tiers à Shiawase, et sous contrat avec les trois. |
>>> La pierre angulaire du renseignement israëlien, c'est le Mossad. Sa véritable dénomination est Ha'Mossad le'Mode'in ve'le Tafkidim Meyouchadim (Institut Central de Renseignements et d'Activités Spéciales, Mossad étant le mot hébreu pour "Institut"). Le Mossad se charge du renseignement extérieur. Son efficacité repose sur des réseaux de "coopérants" (sayanim), agents ou informateurs, dans le monde entier. A l'origine il s'agissait de juifs de la Diaspora, mais depuis ce réseau c'est étendu bien au delà (ainsi, Keruba International était noyauté par le Mossad avant que Renraku ne voit le jour). Les actions spéciales sont de la seule reponsabilité du Mossad, grâce au Kidon (le service spécial du Mossad) ou au Sayeret Mat'kal (les forces spéciales de l'armée). ll est très probable que l'assassinat du leader islamiste Hamad Cholilah en 2034 est au moins bénéficié du concours du Mossad. >>> Le SHABAK (Sherut Ha'Bitachon Ha'Klali, Service de Sécurité Générale, autrefois le Shinbeth) est le contre-espionnage israëlien. Il a gardé depuis un siècle l'habitude de pratiquer des actions préventives contre les menaces potentiels. Depuis l'accord de paix de 2029, la souplesse juridique dont bénéficiait le SHABAK s'est largement durci : moins d'écoutes téléphoniques et moins de tortures (celà dit, il leur reste un certain savoir-faire en la matière). Le SHABAK n'assure plus non plus la sécurité des aéroports israëliens (assuré par Knight Errant). >>> L'Agaf Modiin ou AMAN regroupe les renseignements militaires (à ne pas confondre avec l'AfMN, le renseignement militaire allemand). Il ne pratique que la collecte d'informations, par tous les moyens possibles, y compris les satellites, les écoutes électroniques ou les unités de reconnaissance des forces spéciales. Les opérations offensives sont demandée au Mossad. Même dans ses commandes, l'AMAN est le plus modéré des services israëliens. On raconte que les mages de l'AMAN aurait redécouvert quelques techniques pas dégueu de la Kabbale, mais qu'ils n'ont pas encore été autorisé à les utiliser en opération. |
>>> Les sections de la sécurité publique du Naicho (Naikaku Chosa shitsu, l'office de recherche du cabinet) dépendent du Premier Ministre. Sa structure interne n'est pas publique et comprend les Sections 1, 2, 4 (lutte contre le crime organisé), 5 (contre-espionnage), 6 (affaires internationales), 8 et 9. Le Naicho est le plus proche de la politique gouvernementale. La Section 3 d'antiterrorisme avait été dissoute à la suite des vices de procédures de l'affaire des financements corporatistes de la nébuleuse raciste terroriste. Aujourd'hui ce sont les liens corporatistes de la S-6 qui sont sur la sellette. >>> Le renseignement militaire japonais, le Johohonbu est plus générallement appelé Japanese Intelligence Agency. Les sections de la garde nationale sont celles qui sont restées le plus indépendantes des corporations. Leurs réseaux californiens et sur le reste de la Côte Ouest sont toujours en pleine désorganisation. >>> Le Ministère du Commerce International et de l'Industrie (plus connu sous le sigle anglais de MITI) est au coeur de la politique intérieure japonaise. Le Régent doit encore faire la part des alliés et des enemis au sein du JETRO (Japanese Exterior Trade Organization), dont les réseaux informaient les corporations japonaises. Les luttes internes y font des morts... |
>>> La branche la plus discrète de la corporation texane est sans doute le Lone Star Information Service. Le LSIS agit à la fois sous contrat pour des clients extérieurs, et pour fournir aux polices de la Lone Star les informations qui leur sont nécessaire pour traiter les affaires de grand banditisme ou le terrorisme. Le LSIS est de fait discrètement implantés partout où la Lone Star a des opérations policières. Son quartier général posséderait une importante équipe d'écoute électronique et probablement des unités d'opérations clandestines. Dans certaines cas, elle doit opérer totalement clandestinement, quand son action dépasse les droits de ce qui n'est sur le papier, qu'une agence de detectives privés. >>>La tache de l'ancienne Drug Enforcement Administration des UCAS, autrefois à l'occasion véritable bureau noir du Président des USA, a été transféré à la Lone Star en 2032. La Lone Star DED, Drug Enforcement Division, est une organisation bien distincte des polices et du LSIS au sein de la Lone Star. La LSDED est dans le monde la principale organisation impliquée dans la lutte contre les trafiquands de drogues organiques, chimiques ou électroniques. La corporation a rapidement étendu la présence d'une DED dans tous les territoires où elle agissait, permettant de lutter contre les filières passant par Denver ou les CAS directement au niveau des plaques tournantes. En effet aux UCAS, le manque de coordination avec le Department of Justice en matière d'inculpation fédérale et le Department of State pour les extraditions, a conduit à une disproportion nette entre la collecte des données et les arrestations proprement dites. |
>>> La direction de MCT laisse une très grande liberté d'action à la Mitsuhama Intelligence pour mener ses opérations. Ils entretiennent des liens avec diverses organisations Yakusas, dont ils se sert pour étendre sa portée d'action. Ils développent dans leurs laboratoires de recherche les substances qui leurs sont utiles, des poisons à toute la gamme des altérateurs de psyché. |
>>> Le Conseil Tribal Souverain possède son propre organe de renseignement, issu de la guerre de la Danse Fantôme. Les Danseurs Devins ont été les premiers a utiliser la magie dans le domaine du renseignement. La magie est restée leur outil principal, et leur faiblesse est très net dans le domaine du renseignement de terrain et électroniquee. En collaboration avec le Corporatif Pueblo, ils se sont équipés en électronique, mais l'absence d'équipements de surveillance orbitale et d'un réseau conséquent d'agents de terrain reste un problème. |
>>> Les premières opérations des services de renseignement de Novatech ont participés à la constitution de Novatech Inc. en contact avec des agents à l'intérieur même de Fuchi. Pour certaines opérations, ce sont les Schroedinger's Cats où on trouve l'élite des deckers de la corpo, et les groupes magiques Black Omega où son antichambre Black Alpha, qui interviennent. |
>>> Le BSIE (Bureau de la Sécurité et de l'Intelligence Extérieure) dépend du ministère des Affaires Etrangères. Contrairement à la majorité de ses homologues, il est collecte lui-même ses renseignements (ce qui lui donne sa place ici). Son directeur (actuellement Joseph Michelet) pilote littérallement le ministre des Affaires Etrangères. La veille des nouvelles menaces, en particulier pour le terrorisme, est l'activité la plus spécifique du BSIE. >>> Le SRS (Service du Renseignement et de la Sécurité) a autorité sur toute mission d'espionnage et de contre-espionnage, à l'exception des dossiers militaires les plus chauds. L'étendu des compétences du service est parfois la cause de faille très nette, comme l'affaire de la Confrérie Universelle. Il en résulte des relations orgeuses entre le SRS et les politiciens. Le service enquête en retour énormèment sur les opérations corporatistes, ce qui compromet le gouvernement. Seules les opérations des Séraphims de la Cross Applied Technologies se déroulent dans une relative impunité. >>> La DRD (Division Renseignement de la Défense) est le service du renseignement militaire. Ils s'intéressent à toutes les forces armées d'Amérique du Nord. Elle a des contacts suivis avec (c'est suffisament rare pour être signalé) les Danseurs Devins des NAO, et aussi quelques groupes indépendantistes de Seattle. >>> L'ESC (Etablissement de la Sécurité des Communications) dépend également du Ministère de la Défense. Malgré son nom, il s'occupe à la fois de l'espionnage électronique et informatique et de la sécurité de ses domaines. Il entretient une relation bizarre avec la Cross Applied Technologies, entre la symbiose et la rivalité (pourquoi l'industrie logiciel du Québec se résume à la CATCo ? Parce que l'autre moitié des programmeurs québécois est tenu au Secret Défense à l'ESC). Son sytème informatique n'est pas imprenable, mais il recèle quelques petits programmes intéressants. |
>>> Le principal axe d'action du Renraku Information Department est la matrice. Les réseaux de terrain et les frappes chirurgicales des Red Samurais ne viennent qu'en appui de l'espionnage électronique. Leur efficacité a beaucoup varié durant les guerres corporatistes, avec l'énorme perte technologique que Renraku a subit, qui s'est avéré autant dommageable à la sécurité informatique qu'aux capacités de renseignement. Les réseaux de terrain sont eux constitués essentiellement dans le milieux des runners, que Renraku exploite beaucoup. |
>>> Le MI-6 (ou SIS, Security Intelligence Service) est le service de renseignement extérieur. Si ses agents sont souvent talentueux, son organisation interne, avec un découpage strict en zone géographique, n'est pas toujours très efficace. Quand à le section "Global", elle est chroniquement surchargé, et a le plus grand mal à obtenir des sections régionales les informations nécessaires. Il est depuis longtemps question de réformer le système, mais le conservatisme anglais n'aide pas. La vieille rivalité avec le MI-5 se manifeste de manière cyclique. L'actuel "Mr C" (le chef du MI-6, depuis le capitaine Cumming, premier chef de l'ancètre du MI-6) est plutôt favorable à une collaboration poussée avec le MI-5. Son avis, donc celui du MI-6, est tout à fait différent concernant le DIS. >>> Le MI-5 (ou SS, Security Service) se charge de la sécurité du Royaume-Uni, c'est à dire du contre-espionnage et du contre-terrorisme. Ses moyen on considérablement grandi depuis la privatisation de Scotland Yard (à qui le gouvernement répugne de confier les affaire de terrorismes). Il peut par exemple procéder à des arrestations (auparavant, il devait faire appel à la police). Il existe par contre un tribunal spécial qui juge les cas d'illégalités commis par le service (rares, ses affaires sont à chaque fois des bombes médiatiques). >>> Le GCHQ (Government Communications Headquarters) est chargé du renseignement électronique ainsi que de la sécurité électronique du Royaume-Uni. Ils sont carèment redoutable sur la sécurité et le cryptage, doué pour l'interception de signaux et le décryptage, et franchement à la bourre sur l'espionnage informatique. Heureusement pour eux, la Grande-Bretagne est l'un des premiers pays à collaborer activement avec la NMA. Le GCHQ participe aussi au système ECHELON. >>> Le renseignement militaire britannique, le DIS (Defence Intelligence Staff) est commun à l'Army, la Royal Navy et la RAF. Son panel d'activité est extrèmement large, et sort beaucoup du contexte militaire. Moins grand que les deux MI, le DIS prend une affaire en charge, quand ces derniers n'ont pu prévenir la situation à temps. Cette position d'ultime recours a crée certaines tensions entre ces services, mais on fait beaucoup pour la réputation du DIS dans le monde des services secrets. >>>Le Joint Intelligence Commitee (JIC) supervise le travail de tous ces services, en attribuant (ou retirant) les dossiers à chacun (par exemple le désistement des MI au profit du DIS est de leur ressort). Elle comporte d'excellents analystes parmi ses effectifs, qui sont chargés des situations les plus épineuses. |
>>> De manière prévisible, la structure de renseignement de Saeder-Krupp est étendu derrière de nombreux écrans. S-K Aerospace et Orbital Dynamix disposent ainsi pour la compagnie mère d'une vaste flotille de satellites d'observation, la plus dense existante (seuls AresSpace et les UCAS rivalisent lorsqu'ils mettent leurs moyens en commun). La récupération de données sur la Matrice dispose d'un dispostif tout aussi important mis en place par les filiales telecoms de Saeder-Krupp, aussi bien dans les nombreux réseaux qu'elles controlent en Europe, que dans les autres. Les agents de terrain de Saeder-Krupp restent principalement chargé d'opérations de nettoyage et d'assassinats (arrivéà ce stade des opérations, leur intervention est souvent voyante, mais ils ne laissent jamais de preuves). Le maitre d'oeuvre est bien sur Lofwyr, mais un certain nombre de personnes de Saeder-Krupp ont à leur actif des réseaux déjà impressionant de contacts. >>> Dans certains cas de manière totalement indépendante des services de renseignement de Saeder-Krupp, Lofwyr dispose de contacts très avancés avec presque toutes les centrales de renseignements européenes (pas toujours directement : ainsi la participation dans Esprit Industries a fourni des contacts avec la DGSE). Un autre point important est celui d'Interpol : bien que Saeder-Krupp n'en soit membre à aucun titre (au contraire de Knight Errant ou de la Lone Star), de nombreuses polices européenne comme la quartier général d'Interpol à Lyon, dépendent de Saeder-Krupp pour l'échange et le traitement de leurs données. |
>>> Le Market Information & Forecasting Department, le MIFD, est au coeur de la structure interne de Shiawase. Le renseignement de Shiawase a toujours été une pièce maîtresse des luttes d'influence au sein de la corporation. Le MIFD est actuelllement sous le seul contrôle du P-DG Sadato Shiawase, par l'intermédiaire du directeur Ichiro Kiyomoto. A l'image de la corporation, le MIFD fait un grand usage de technologies modernes, de l'informatique au sonde mentale. |
>>> L'appareil de renseignement central de la Nation Sioux est l'Office of Military Intelligence dont le nom indique bien la militarisation du système Sioux. L'OMI se concentre principalement sur la scène nord américaine, états et corporations. La réorganisation qui a fait suite aux divers scandales du milieu des années 50 inclut le développement des activités de sécurité intérieure. Sur le terrain, elle peut faire appel aux unités spéciales de l'armée Sioux, les Forces Spéciales, plus connu sous le nom de Wildcats, et la Matrix Warband pour les opérations informatiques. Fort de leur réputation, les Wildcats entretiennent des relations chroniquement difficiles avec l'OMI. La Matrix Warband travaille coopére de manère largement plus importante. |
>>> [ dossier ]
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>>> La plus grande centrale de renseignement dans le monde reste encore la CIA, la Central Intelligence Agency. Pas tant en capacité de collection de renseignement (Saeder-Krupp tient la comparaison avec l'appareil des UCAS) mais sur le plan de l'analyse et de l'action. Pas grand chose à dire de plus, sinon que ce sont des bourrins finis, qui gaspillent leur budget dans des opérations gargentuesques de renversements de gouvernements, de trafic internationaux d'armes et de drogues, ce genre de chose. La CIA est sans doute l'une des rares choses qui puissent menacer les opérations d'une mégacorporation, même si l'agence n'a jamais mené de grande opération contre elles. Le Director of Central Intelligence dirige la CIA ainsi que tous le renseignement des UCAS. Depuis 2035, le QG de la CIA à Langley possède une annexe à Fort Denton qui se consacre essentiellement au CAS. Au fait, la CIA n'a pas le droit d'agir sur le territoire des UCAS, mais visiblement, tout le monde s'en fout... >>> La NSA (National Security Agency) s'occupe du renseignement électronique, ce qui inclus les écoutes téléphoniques dans le monde entier via le système ECHELON, qu'on ne présente plus, et le piratage informatique, ainsi que la sécurité informatique. L'équipe Echo Mirage dépend uniquement de la NSA depuis 2041 (bien que la CIA aimerait bien récupérer son usage). La NSA pratique un forcing auprès du Congrès depuis quelques années pour obtenir chasse gardé sur le renseignement magique. Il est de notoriété publique (ou presque) que la NSA a aussi quelques agents de terrains qui manient mieux la gachette que l'informatique. On lui reproche aussi beaucoup quelques accointances de trop avec les corporations. Son QG est à Fort Meade (Maryland). >>> Le FBI (Federal Bureau of Investigation) s'occupe du contre-espionnage sur le territoire des UCAS (et plus ou moins en Amérique Latine) et passe plus ou moins pour une bande de bureaucrates enmerdeurs au yeux des autres services. Il faut reconnaître néanmoins qu'il se donne les moyens de lutter contre les terroristes (au détriment des magouilles corporatistes... comme c'est arrangeant !). Au sein du Department of Justice, La lutte anti-drogue est du ressort de la DED. La Drug Enforcement Administration est devenu la Drug Enforcement Division de la Lone Star lorsque ses fonctions furent transféré dans un contrat fédéral. >>> Le Secret Service dépend du Department of Treasury. Les faux de billets et de documents officiels sont de son ressort, de même que la sécurité des officiels des UCAS (suite à l'assassinat de Lincoln peu de temps après la création du service). En règle générale, la constitution d'une fausse ID pour les besoins d'une opération doit passer par eux. Leur activité contre-terroriste est défini par les renseignements fourni par les autres membres de la communauté, alors ils sont forcèment toujours en retard d'un train. >>> La DIA (Defence Intelligence Agency) coordonne les Armed Services Intelligence : c'est à dire en gros l'Air Intelligence Agency ), le NRO (cf ci-dessous), l'Intelligence & Security Command (pour l'Army) et l'Ofice of Naval Intelligence. Tout ce petit monde est installé au Pentagone. Au niveau opérationnel, ils ont tout ce qu'il veulent : avions furtifs, commandos, satellites,...ca leur appartient après tous. Les attachés militaires dans les ambassades des UCAS dépendent aussi de la DIA. >>> Tous les satelites d'observation des UCAS sont gérés par la NRO (National Reconnaissance Office). Elle reçoit des commandes de la CIA, envoie et entretient ses satellites grâce à Ares et dépend pour partie de l'US Airforce. En clair, ce sont des loufiats, mais des loufiats dont personne ne peut se passer, et qui coûtent cher au contribuable. ... parmi les petits joueurs, citons le BIR (Bureau of Intelligence and Research, compile les renseignements pour la diplomatie du Department of State) et la NIMA (National Imagery and Mapping Agency, qui gère la diffusion de l'imagerie au sein de la "Communauté"). Ses services sont essentiellement composé de bureaurates,d'analystes et de techniciens, et n'ont aucune capacités opératives, mais participent néanmoins au bordel structurel qui caractérise la Community. |
>>> Le service de renseignement de la Wuxing, le WID (Wuxing Information Department) n'est pas aussi important que ceux des corporations de taille comparable. Une bonne part de ses effectifs est constitués d'agents magiquement capable (mais sans que ce soit forcèment leur spécialité), mais la véritable extension du WID se trouve dans ses réseaux plus informels de contacts. Les relations de Wuxing avec certaines des Triades, les services des autres membres du Pacific Prosperity Group et les milieux financiers, lui permettent de récolter ses renseignements.
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>>> La structure de renseignement de la Yamatetsu Naval Intelligence cultive la discrétion plutot que véritablement le secret. Elle a été sujette à d'important restructurations post-japonaises comme d'autres élements de la corporation. Les liens avec le JETRO japonais ont cédé la place a d'autres avec les différents organismes russes (quoique Yamatetsu soit maintenant un allié potentiel du gouvernement japonais qui a mis les corporations japonaises sans l'opposition). La relation Yamatetsu-Russes n'est vraiment pas à sous-estimé : les formations, comme une bonne partie des agents, sont pour uen bonne part d'origine russe. >>> Le Special Security Detail, SSD est l'équivalent d'un service de sécurité. Son personnel n'est pas si nombreux que cà (à l'échelle des mégacorporations et état), mais tous qualifié en matière de surveillance, protection, contre-espionnage, et meme "contre-insurrection". Ce sont pour l'essentiel des agents de terrain (ca n'empeche pas certains d'avoir des talents annexes) qui opérent souvent sous couverture au sein de Yamatetsu, meme en tant que garde du corps. La direction leur confie également des opérations clandestines sur ordre direct. |
>>> A la sortie du Crash de 2029, le sigle de NMA, Network Maintenance Agreement, a en fait désigné dans les documents officiels la Network Maintenance Agency. Sur la base de l'importance du réseau dans le monde, et du manque de sécurité face aux menaces de grandes envergures, le 9e Bureau de l'ONU s'est vu attribué une large autorité pour veiller à toutes menaces envers la nouvelle Matrice. A l'origine du mythe de la Police de Turing, la NMA est devenu avec les Amendements de Munich de 42, un véritable centre de veille et de lutte contre le terrorisme technologique, sous l'égide du Tribunal Pénal International des Crimes Technologiques de Lyon. Son effectif d'environ 500 personnes incluait des deckers comme des agents de terrain, recruté auprès des agences et forces spéciales gouvernementales et corporatistes. Le statut international de l'agence lui a permis de prendre un grand nombre de passe-droits, en plus de l'immunuté diplomatique de tout employé des Nations Unies, et surtout l'accès à "toute information utile détenue par un membre de l'Organisation [des Nations Unies]" (ce qui inclut par une sombre histoire de reconnaissance d'autorité les mégacorporations extraterritoriales). L'autorité étendue de la NMA et certaines ramifications des affaires qu'elle a traité ont ultimement mené à sa dissolution en 2061. |
>>>Le nom de Black Service n'est que celui qui est donné à la rumeur d'une unité de renseignement à la disposition de la Corporate Court. Pour l'essentiel, il s'agit d'un sujet d'élucubration des amateurs de théorie de conspiration. Lorsque les juges de la Cour Corporatiste aurait besoin d'informations sans passer par les corporations (dont ils sont pourtant les représentants), une équipe, a priori réduite, d'agents serait opérationnelle. Moyen réduit, travail centré sur l'enquete, l'analyse et l'expertise de ces hommes. La rumeur s'accompagne générallement du nom de quelques disparus mystérieusement du monde du renseignement. A ce niveau, il est probable que le mythe se confonde avec celui de la NMA sur les soit-disantes opérations ultra-secrètes. >>>Si le Black Service à jamais exister, il a probablement disparu ou intégrer un organisme plus officiel, la Corporate Court Matrix Authority (CCMA). En 2061 dans le prolongement des évenements de la fin des années 50, la CCMA a transformé son role d'autorité de régulation à celui de protection, pour remplacer la NMA, en se dotant de la Grid Overwatch Division, marquant le transfert de cette compétence sur le réseau des nations aux corporations (un dernier bastion maintenu fort longtemps). Les opérations de la CCMA semblent nettement plus rares que celles de son prédecesseur, se basant principalement sur la collecte de données. En l'état, il est difficile de déterminer si des éléments de cet nouvelle strcture provienne de la NMA, du Black Service ou des services corporatistes. |
>>> Avec les legs du grand dragon Dunkelzahn, on a découvert un empire financier aussi vaste que celui d'une mégacorporation. Et qui disposait tout autant de sa structure de renseignement. Hors du cerveau de Dunkelzahn, et peut-etre de ses systèmes informatiques les plus avancés, ce réseau n'était nul part formalisé. Le "Réseau Dunkelzahn" regrouppait un grand nombre d'agents et d'informateurs, centrés sur l'Amérique du Nord, mais s'étendant bien au delà. Meme ses propres membres n'avaient qu'une vision fragmentaire de leur position, certains ne sachant rien d'autre que le nom de leur contact ascendant, d'autres dirigeant toutes les opérations d'un secteur. >>> Meme si etonnament ce réseau semble avoir été pris au dépouvur par l'assassinat de Dunkelzahn, il est probablement que l'essentiel de sa structure est pu etre récupéré par la Draco Fundation. Après avoir été entrapperçu dans le chaos de 2057, le réseau Dunkelzahn est rapidement retourné dans l'ombre, et il est tout à fait possible que ce qui en reste est constitué plus d'un nouveau réseau. |