60 ans d'opérations militaires |
>>> Certains conflits subistent également de manière fluctuantes, sorte de petite guerre froide. Si les confrontations armées sont parfois rares, la tension reste vive dans le dispositif frontaliers des deux camps. La plupart du temps, ca se limite à des accrochages entre patrouilles, surtout quand un espion doit franchir la frontière précipitament. A des intensités variables, c'est le genre de situation que l'on trouve dans les Etats des Royaumes Chinois, et aux frontières Russie-Yakutt, Russie-Ukraine, Maroc-Algérie, Californie-Tir Tairngire, Texas-Aztlan, Amazonie-Aztlan, Amazonie-France en Guyane Française, Tsimshian-SalishShide et UCAS-Sioux. C'est la liste non exhaustive des secteurs ou un conflit d'envergure moyenne impliquant des forces militaires modernes a une chance de se produire dans les années à venir.>>> Du coté des conflits entre corporation, une situation analogue existe en Afrique du Nord. Contrairement à ce qui est souvent dit dans les médias, les "Desert Wars" n'ont rien d'exercices en environnement réels. Depuis la fin des Euro-guerres, le Sahara et le désert Libyen sont la zone d'opération d'importantes détachements de troupes corporatistes, qui se livrent une véritable guerre de position pour plusieurs sites et infrastructure de la région. Les commandements corporatistes n'hésitent pas à s'allier pour se partager les sites importants, mais aucun consensus n'a pu mettre fin à cette guerre médiatisée sans dire son nom. Une telle situation est encore à meme de se former dans d'autres endrpits reculés, comme l'Antarctique, mais surtout sur le plancher océanique et, pourquoi pas, dans l'espace.
Type d'engagements traditionels & modernes
>>> La guerre conventionnelle, avec ses divisions d'infanterie et de blindés est a entamé sa disparition au milieu du siècle dernier. Elle est couteûse en moyens et en vie (et ne plaît donc ni à l'opinion publique ni aux actionnaires). Par contre, quand un camp décide d'agir de cette manière, il est très difficile ou long de le contrer sans déployer des forces de blindés ezt d'infanterie du même type.
>>> Même les nations du tiers monde, si elles utilisent du matériel de ce type, se battent plutôt suivant les principes de la guerilla. La guerilla abandonne tous les principes de positions. Elle repose sur de petites unités, n'attaquant qu'avec l'avantage et l'effet de surprise, et se repliant systèmatiquement si elles sont dépassées par les forces enemies.
>>> La guerre éclair, elle, consiste à atteindre et frapper le plus vite les centres névralgiques de l'adversaire, mettant hors d'état de nuire la majorité des troupes adverses qu'on ne cherche pas autrement à détruire. Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, toutes les avancées technologiques militaires se sont fait dans cette optique d'être plus rapide et plus efficace que l'adversaire.
>>> Je cites quand même les opérations de maintien de la paix. Elles sont restés l'apanage de l'ONU, mais ont cessé de reposer sur les contingents militaires occidentaux. La méthode actuelle est plutôt de faire appel aux pays proche de la région concernées, et qui connaissent sans doute mieux et les belligérants et le type de terrain. Les corporations accomplissent aussi ce genre d'opérations, comme ce fut le cas en Afrique du nord après les Euro-guerres, pour pacifier leurs zones d'intérêt économique.
>>> La guerre chirurgicale est une extension de la guerre éclair. Son arme principale est le projectil ballistique : tirés de très loin, et dirigés vers sa cible par satellite, drones ou par des éclaireurs des forces spéciales (générallement les seuls à voir l'ennemi en vrai). Les missiles eux-même peuvent être tiré depuis un silo fixe, un navire, un chasseur-bombardier furtif, un blindé ou même par un fantassin.
>>> Les forces armées modernes utilisent toutes l'informatique. Ce qui a donné naissance à un nouveau front : la guerre électronique. D'abord le renseignement, par interception des signaux radios, puis l'attaque, avec les virus (insérés générallement au travers des radars adverses) et les deckers. L'omniprésence de l'électronique sur le champ de bataille a ammenné à étendre la lutte électronique des véhicules aux unités d'infanterie électronique (plus générallement appelé deckers de combat), a meme de déployer sur le terrain les mesures et contre-mesures électroniques.
>>> La guerre clandestine se concentre sur les centres névralgiques de l'adversaire, pour la paralyser, tout en portant la combat au coeur meme de son terrain. Il s'agit principalement d'une guerre urbaine, qui tient beaucoup du terrorisme dans le type d'opérations, mais pas dans les objectifs, qui ne sont pas psychologiques ou politiques mais bien stratégiques.
Armements ballistiques >>> L'arme principale de la guerre moderne est le projectile ballistique. Il s'agit typiquement d'un missile dont la portée peut varier de quelques kilomètres à quelques milliers. La particularité du missile ballistique, par rapport aux armes directes, est que le guidage du missile se fait en temps réel pendant son vol. >>> Le premier moyen est le guidage inertiel : le systèmer embarqué calcule une trajectoire entre sa position de tir et sa cible. Deuxième méthode, les capteurs du missile cherche le reflet du signal électromagnétique envoyé sur la cible par un désignateur de cible, qui peut etre transporté sur le théatre des opérations par un drone ou un fantasson. Enfin, le guidage à interface met le missiles directement sous le contrôle d'un pilote humain. >>> L'armement ballistique va des silos ICBM (Inter Continental Ballistic Missile) fixes au lanceur Ballista d'infanterie, en passant par les navires de guerre, les bombardiers et les lanceurs terrestres mobiles. Un seul missile peut contenir plusieurs têtes ou sous-munitions, qui frapperont chacune une cible différente (un missile tiré depuis un blindé peut contenir deux ou trois sous-munitions, alors que les ICBM en contiennent au moins une dizaine). Le repérage et le pointage des cibles peut se faire par toutes les méthodes classiques de reconnaissance : satellites, drones, chasseurs de reconnaissance et forces infiltrés. |
>>> Les armure de combat militaire sont a meme de recevoir senseurs, console tactique, armement ballistique et connection à la cybernétique implantés du soldat. L'infanterie mécanisé peut également déployer sur le terrain des drones de reconnaissance et de combat. A l'opposé, les unités les plus discrètes des forces spéciales agissent dans un silence électronique le plus total afin d'échapper au dispositif de détection adverse.
>>> Le corps blindés se divise en deux composantes. Les véhicules à poussés vectorielle constituent l'arme de pointe offensive et de reconnaissance ; les véhicules chenillés et à roues assurent le controllent du terrain avec une puissance de feu plus importante et le soutien de troupes embarquées. Les panzers étant un armement couteux à l'achat et à l'entretien, ils trouvent un équivalent en vitesse et capacité de détection dans les véhicules du type tank de combat à grande vitesse (en anglais HSCT)
>>> L'artilleria au sol emploie presque exclusivement de l'électronique de tir ballistique. Un autre axe de développpement a été cependant les "super-artilleries" poussant les calibre à 350, 406 ou meme 1000mm dans un premier temps, afin d'expérimenter à plus long terme des dispostifs de railgun magnétique.
les armements proscrits >>> En 2041 a été signé un accord (intégré l'année suivante dans les Conventions de Genève par les Amendements de Munich) proscrivant l'usage d'armes de destruction massive. Des stocks de ces armes existent toujours néanmoins. >>> Les principales concernés par le traité sont les armes NBC (Nucléaire-Biologique-Chimique) regrouppant toutes les armes "à contamination" : les gaz toxiques et les virus et bactéries. Les pires armes, gaz neurotoxique binaire et virus obtenus par manipulations génétique, ont été à la pointe de la recherche de nombreux pays et de firmes dans les années vingt et trente. L'Afrique a particulièrement souffert de leur utilisation (le Gamma-Anthrax d'abord, puis la scandale du Polydopa de Zeta-Impchem révélé en 2042, un an après l'interdiction). >>> Les armes nucléaires (en dehors des agents infectieux radioactifs qui rentrent dans la cétagorie précédente), ne sont pas concernés par l'accord de 2041. De surcroît, la dissémination nucléaire a bien eu lieu : les corporations, les amérindiens, parfois les terroristes (pour l'instant attrapé avant qu'ils aient eu le temps de s'en servir)) et même le Vatican (il y a le Sceau Papal sur leurs ogives !) en disposent. Elles ont été utilisé plusieurs fois au cours du siècle : la riposte israélienne contre la Libye en 2004, l'incident "Lone Eagle" et son missile disparu, et la détonation de Cermak à Chicago en 2056. Par contre, les ogives nucléaires orbitales à effet électro-magnétique (un concept mis au point par les soviétiques au siècle dernier) ont du toute être redescendu au sol. La perpective qu'il reste des armes pouvant détruire tous le systèmes informatiques d'une mégapole était une menace pour la stabilité globale (même si les mémoires optiques y sont insensibles, les composants électroniques affectés ont tendance à prendre feu, détruisant quand même les données en fin de compte). >>> Les autres armes orbitales, de type canons (lasers ou micro-ondes), ont quant à elles été placé sous l'égide du Conseil de Sécurité de l'ONU, qui peut autorisé (à l'unanimité) un tir orbital (même si un tir "illégal" serait difficile à détecter). Très confidentiellement, les casques bleus de l'ONU les ont utilisés une poignée de fois, nottament lors de l'opération "Suricate" en Afrique australe en 2054. |
>>> Bien qu'il s'agisse techniquement d'une composante des forces armées terrestres, commencons par les hélicoptères. Dans ce domaine, les moteurs à poussée vectorielle n'ont pas supplanté les rotors, qui à des coûts moindres confère une performance proche et des capacités de furtivité accrues. De nombreuses unités sont entièrement héliportés (avec un soutien blindés par panzers). Les modèles chasseurs de tanks, dépassé par l'amélioration des blindages et des véhicules blindés, ont évolué vers tout une gamme d'hélicoptères et aérodyne à haute performance, qui sont en fait des chasseurs furtifs d'opérations à basse altitude.
>>> Tous les chasseurs modernes sont conçus selon les principes de furtivité quand à leur fuselage (élimination des angles obtus et maximisation des surfaces courbes). La conception des radars et des logiciels de détection (confrontant les données de plusieurs sources) a suivi cet évolution. La conception d'appareil véritablement furtif passe donc par l'utilisation de matériaux absorbant toujours mieux les ondes radars, l'usage des polymères de ruthénium holographiques pour échapper à la détection optique (à grande vitesse, même une faible résolution est suffisante pour tromper la détection temps réel). Ces appareils totalement furtif continuent de coûter tellement chers qu'ils ne représentent qu'une petite partie du parc opérationnel aérien des armées les mieux équipées.
>>> Mais le programme le plus révolutionnaire de ces dernières années, dans le domaine aérien et dans le domaines militaire en général, est sans doute le chasseur d'attaque Boeing Raven. Son revêtement de fuselage dispose d'une couche "polymorphique" qui permet de maximiser en temps réel l'aérodynamisme et la furtvité des angles des volets. Selon certaines études, il serait meme possible d'utiliser la capcatié nano-morphique de ce revetement pour exposer volontairement une signature radar ou thermique correspondant à un autre appareil. Débutter à la fin des années 40, le projet a connu de nombreux avatar, sans parvenir à un déploiement opérationnel pour l'instant.
Batiments de marine du XXIe siècle
>>> Dans la majorité des pays, le budget de la marine est celui qui c'est le plus réduit, et seules les plus grosses corporations disposent de flottes opérationnelles. Le roi des mers demeure le dispositif aéronaval. Des drones aux avions de transports, en passant par les hélicoptères, chasseurs et aérodynes, les porteurs aériens peuvent atteindre des tailles impressionante ou équipe une coque de frégate. Les plus grands peuvent accueillir des avions cargos et transporter une division terrestre au complet, mais seuls une poignée de marine en ont entrepris la construction.
>>> Au sein des navires de surface, les plus modernes diposnt d'une igne de flotaison très haute, se dissimulant aussi bien de la détection que du tir, à peine un mètre au dessus de l'eau. Peu connu du grand public, certains de ces navire de frappes embarquent la matériel militaire le plus moderne. Les technologies furtives ont aussi trouvé application sur les mers. Les sous-marins de différent type (d'attaque, lanceurs d'engins, d'opérations sous-marines) restent l'élement principal de discrétion maritime, mais il exite aussi des batiments de surface furtifs. Il s'agit générallement de petites embarcations rapides, ou de frégates multicoques, ces dernières étant elle aussi d'un cout important.
La Guerre Thaumaturgique
>>> Après des débuts chaotiques ou la Grande danse Fantome eut l'effet de l'arme atomique en son temps, la magie n'a pas bouleversé fondatementalement la pratique de la guerre. L'effectif de mage dont une force armée peut disposer reste relativement limitée, générallement l'échelon du bataillon (environ 400 hommes) dispose en soutien d'une dizaine de mages. Et les effets de drain laisse à la magie une puissance breve.
>>> Sur le plan offensif, meme la magie rituelle la plus puissante demeure d'une inutilité remarquable. La destruction d'un véhicule ou d'une escouade demeure négligeable à l'échelle stratégique. Le cas tactique de la confrontation directe de deux unités est tout autre, mais comme o l'a vu, il n'y a pas assez de mages qualifiés pour accompagner chaque escouade. Seules les forces d'élite bénéficient du soutien rapproché de mages, ce qui inclut dans ce cas les commandos mais aussi la chasse aérienne, qui peut-etre escorté d'esprits invoqués.
>>> C'est dans le domaine de la reconnaissance et du renseignement tactique que la magie prend son importance. Elle fournit les informations plus efficacement et rapidement que n'importe quel autre moyen (mais elle demeure incapable d'y ammenner un désignateur de cible cela dit). Et il est alors devenu tout aussi impératif de limite la capacité de reconnaissance magique de l'adversaire. L'astral est devenu a son tour un champ de bataille ou ne s'affronte qu'une poignée d'hommes, de manière tout à fait similaire aux forces aériennes de la Premiere Guerre Mondiale.
Ares Macrotechnology - IWS: La mégacorporation de Détroit est le principal producteur d'armes dans le monde, estimé à environ 38% du total des ventes d'armes légales. Elle contrôle la majorité de l'industries d'Amérique du Nord, et le groupe IWS, dont Ares détient 30% du capital, est issu de regroupement de l'industrie militaire brittanique. Esprit Industries et Saeder-Krupp : Les deux groupes européens sont liés par GIAT, constructeur français de matériel terrestre. Esprit Industries tient entre autre le marché de l'électronique militaire. Saeder-Krupp dispose d'autres filiales dans le secteur aéronautique et en Europe de l'Est. Aztechnology: La production d'armes d'Aztechnology est inévitablement associée à la situation deans le Yucatan. Aztechnology est aussi présent dans le secteur de l'aéronautique militaire par l'intermédiaire de Dassault. Le Cartel Japonais: Les groupes japonais contrôlent principalement des producteurs d'armes à feu, dont la Fabrique Nationale Herstal, filiale de Monobe. Renraku est le plus important propriétaire japonais d'industrie militaire au travers du groupe hongrois Izom, suivi de Monobe et Shiawase. Autres producteurs: Boeing, Mesametric, Rurhmetall AG, Tanamyre Ressources. |
>>> La marché de l'armement est très différents des autres secteurs d'activités économiques. Hormis les armes à feu, l'armement ne trouve de débouchés qu'auprès des autorités, nationales ou corporatistes. Qu'il s'agisse de fusils ou de chasseurs furtifs, les contrats sont colossaux. Dans ce domaine, c'est du tout ou rien. En revanche leur activité obéit à des cycles générallement distinct de l'activité économique globale. Les corporations les plus plus présentes sur ce marché sont Ares Macrotechnology (qui truste plus du tiers du marché à elle seule), IWS, Esprit Industries, Aztechnology, Saeder-Krupp, et dans une moindre mesure, Shiawase et Renraku (qui a abandonné le secteur du consortium Keruba dans les années post-crash).
>>> La recherche militaire est toute aussi différente du domaine civil. L'avancé technologiques y est moins sujette au problème de cout et de capacité de production, ce qui implique également une protection plus poussés des données sur la conception mais aussi les défauts de ces équipements militaires. L'avènement des mégacorporations a modifié les conditions dans lesquels les forces armés des états et leurs services de sécurité pouvaient veiller à leur avancés technologiques. Il reste néanmoins le secteur où l'influence des états reste la plus importante.
>>> Les principaux axes de la recherche militaire actuelle sont la biogénétique (comment faire des super soldats pour toujours moins chers), la défense et l'attaque astrale (plus particulièrement les métabactéries) et en montée, la robotique militaire, associé aux systèmes experts stratégiques et tactiques.
Le XXIIe siècle ?
>>> La première question est de savoir si le monde se sera pacifié. Probablement pas. Meme si une groupement de corporations parvenait a prendre le pas sur les autres et à maintenir l'accord entre elles, un pouvoir central unique générerait une opposition plus forte des autres types de structures. Mais les acteurs, les objectifs, les termes, les moyens et les terrains de la guerre sont à meme d'évolués. L'intelligence artificielle, la colonisation du fond marin et de l'espace, l'extension de la magie et le déplacement des exploitations des ressources qui en résultera seront probablement les clés.