Les dessous de l'AFFAIRE "GRISHAM / DUNKIE"
Le 7 août 2057, le grand
dragon Dunkelzahn remporte l'élection
présidentielle des UCAS. Deux jours plus tard, le soir de son
investiture, il est tué dans un attentat.
Le 7 août 2059, le dénommé John Grisham (non, pas le romancier...) est
inculpé pour le meurtre au premier degré du même Dunkelzahn.
Ces deux faits sont la trame de départ d'une des plus complexes
intrigues du 6ème Monde. Qui étaient les complices
de Grisham ? Qui est le cerveau de l'opération ? Grisham ou un
autre ? L'attentat visait-il Dunkelzahn le président ou
Dunkelzahn le dragon ? Quels personnages, quelles
mégacorporations, quels gouvernements, quelles services de
renseignement, quels groupes terroristes sont impliqués ?
Jusqu'à quel point ? Toutes ces réponses sont bien gardés.
Mais il y a toujours un accro au coin du rideau...
Directement au dernier
développement >>> CLIQUER
en plus >>> pour accéder à
des extraits du procès, CLIQUER
en
plus >>> une révélation qui soulève
pleins de questions, après avoir CLIQUER
> Ces derniers temps, notre suivi de l'affaire Grisham a de plus ne plus de mal à se faire au plus tôt. En effet, il parait plus intéressant de publier les informations intéressantes alors que le procès lui-même est public. Beaucoup de nos informations de premiers plans sur les vrais dessous de l'affaire nous viennent du maître Edward Bromky, qui fait l'objet d'une protection serrée du FBI, réduisant d'autant les possibilités d'avoir des contacts sûrs avec lui. D'autre part, ce fichier commence à peser son poids, j'étudie la possibilité de le fractionner un peu. A suivre... <
2057 | 9 août | Assassinat de Dunkelzahn devant le Watergate hotel à 22H23, heure de la Côte Est, le soir de son investiture. |
10 août | Constitution de la commission Scott sur l'assassinat du président Dunkelzahn. | |
15 août | Le testament de Dunkie est rendu publique, et on en frémit d'avance. | |
2058 | 13 mai | Interpol signale qu'elle possèderait des informations concernant plusieurs personnes impliquées dans l'assassinat de Dunkelzahn, et propose de les transmettre au FBI. Questions : qui a transmis ses informations à Interpol ? Et Grisham fait-il partis de ces personnes "impliqués" ? |
21 novembre | La commission Scott annonce son attention de faire témoigner John Grisham le 1er février suivant | |
2059 | 1er févier | John Grisham ne se prèsente pas à la convocation du FBI, ni au suivantes. |
7 août | L'enquêteur spécial de la commission Scott, Quentin Strapp, annonce l'inculpation de John Grisham, toujours introuvable, pour homicide au premier degré sur la personne du président Dunkelzahn. | |
3 novembre | Début du procès par coutumace au tribunal de Washington. Juge : William O'Keefe, attorney général : Maître Edward Bromsky, avocat de la défence : Maître Catherine Reardon. La séléction du Jury fait l'objet d'une procédure exceptionnelle. | |
5 décembre | Début de l'audition des témoins, à commencer par des proches de John Grisham. Le FBI arrète une première personne tentant d'infiltrer le palais de justice. Sur la durée du procès à Washington, elle arrètera 27 personnes. | |
8 décembre | Présentation des preuves principales de l'accusation : un prélèvement sanguin et une écaille de Dunkelzahn portant l'empreinte astrale de Grisham, et ses empreintes digitales trouvées sur ces objets et dans les lieux où ils ont été trouvés. | |
11 décembre | Un expert du Pentagone, témoin de l'accusation, reconnait qu'il est possible que l'explosion n'ait pas été de nature magique. | |
15 décembre | Audition comme témoin de Damien Knight. Maître Reardon semble essayer de prouver qu'il aurait commandité l'assassinat. | |
18 décembre | A la sortie de l'audience, on tire trois balles sur Maître Bromsky, qui s'en tire avec quelques jours d'hosto. Le tireur, qui n'a toujours pas été identifié, parvient à s'enfuir. | |
19 décembre | Le président Haeffner annonce que la suite du procès se fera à Seattle après que des dispositions spéciales est pu être prises quand à la sécurité. | |
2060 | 3 janvier | Des copies de documents de la Commission Scott sont dérobée au cabinet de Maître Reardon. |
12 mars | Premier jour du procès à Seattle. Sécurité maximum, avec le FBI, la Lone Star, Knight Errant et le Secret Service. | |
15 mars | Pendant huit séances, Maître Reardon fait passer à la barre quinze experts en thaumaturgie pour confronter les éléments préliminaires de la Commission Scott sur lesquelles Maître Bromsky s'appuie, nottament que le clash atral est été, ou une diversion, ou la consèquence de la mort de Dunkie. | |
24 mars | Maître Bromsky obtient un ajournement de séances d'une semaine pour réviser son argumentation. | |
2 avril | Reprise du procès. Bromsky présente des rapports de la CIA et de la NSA concernant des surveillances de Grisham. Le rapport de la CIA est retiré, puisque la charte de l'agence ne l'autorise pas à opérer sur le territoire américain. Celui de la NSA reste valide. | |
3 avril | Trois agents de la NSA sont appelé à la barre. | |
5 avril | Le directeur de la NSA, William Hewitt, est appelé à la barre par Maître Bromsky, pour commenter le rapport de la NSA, et expliquer les raisons de son suivi par l'agence. Le nom de Conrad Basinsky, N°2 du renseignement d'Ares, est cité en réponse à la question : "Qui a été la première personne à vous parler de John Grisham ?" | |
6 avril | Contre-interrogatoire de W. Hewitt par Maître Reardon. elle revient sur la quasi-totalité de sa déposition de la veille. La séance est interrompu après une altercation mouvementée avec un membre du public (d'après nos sources, un ex-agent de la CIA) qui est interpelé. | |
9 avril | Maître Reardon demande l'appel à la barre du président Haeffner, de la vice-présidente Daviar, et à nouveau de M. Knight. La séance est ajournée le temps d'examiner ces propositions. | |
12 avril | La vice-présidente Daviar déclare qu'elle ira témoigner au procès. | |
13 avril | Le porte-parole de la Maison Blanche déclare que la président ira témoigner dès son retour de son voyage officiel en Allemagne à la fin du mois. | |
22 avril | Au cours d'une visite à Munich, le président Haeffner est violement pris à parti par des métahumains. Ce genre d'événements se répetera plusieurs fois au cours du voyage. | |
25 avril | Quatre individus équipés d'armes automatiques et d'explosifs sont abattus par la sécurité à l'intérieur du musée de Pergame à Berlin, où le président Haeffner allait faire un discours. L'affaire est étouffée. Avant de remonter à bord de l'Air Force One, le président anonce son témoignage pour le 30 avril. | |
29 avril | Un journaliste britanique de la BBC révèle l'affaire des quatre tueurs du Pergame. L'information fait très rapidement le tour du monde. | |
30 avril | Manifestations massives de soutien aux familles des quatres "victimes". Face aux médias, des représentants d'organisations pro-métahumaine reprochent au président la non-tenue des promesses éléctorales de Dunkelzahn sur le statut de métahumains. A Seattle, les manifestants empèchent la tenue du procès. | |
1er mai | Les manifestations deviennent de plus en plus violentes. Le gouvernement allemand fait ses excuses, mais l'opinion publique allemande demande la condamnation de deux agents du Secret Service qui ont tiré au moins un des coups fatals. Le président fait une allocution télévisée, au cours de laquelle il reporte son témoignage pour régler l'affaire Pergame. | |
4 mai | Les deux agents du Secret Service sont livrés aux autorités allemandes à l'issue de négociation entre les deux gouvernements. Le réglement partiel de l'affaire et la répression font cesser les manifestations en Allemagne. Mais elles continuent aux UCAS, où le sujet se déplace vers la politique promise par Dunkelzahn et non tenue par Haeffner. Une implication de Haeffner dans l'assassinat du président est évoquée dans plusieurs Talk Shows. | |
6 mai | A Seattle, des détachements de la garde du métroplexe sont déployés autour du Palais de Justice pour permettre la poursuite du procès. La manifestation au Seattle Center n'est pas dipersée et se tranforme en sit-in qui se poursuivra plusieurs semaines. | |
7 mai | Le président Haeffner vient témoigner au procès. Apparament aiguillées, les questions de Maître Reardon sont beaucoup moins percutantes que prévu. | |
10 mai | Maître Bromsky entreprend son contre-interrogatoire de Haeffner. Celui-ci refuse de répondre à plusieurs des questions, de la veine de ce que l'on attendait la veille. Le Juge O'Keefe invalide plusieurs questions dont celles auxquels Haeffner a refusé de répondre. | |
11 mai | Maître Bromsky dépose une demande de révocation du juge O'Keefe de l'affaire. | |
15 mai | Le juge O'Keefe se retire avant que sa révocation ne soit examinée, et prend sa retraite. | |
17 mai | Le juge Michael Clayton est nommé pour remplacer O'Keefe. Il ajourne le procès jusqu'à ce qu'il est pu prendre connaissance des éléments du dossiers, au plus tard à la fin juin. | |
19 mai | Entretien à la Maison Blanche entre le président, les juges Scott (celui de la commission) et Clayton. La discussion peut sans doute se résumer à "les élections approchent, alors foutez moi la paix". | |
4 juin | Reprise du procès. La vice-présidente Daviar étant alors au G8 à Tokyo, Damien Knight repasse à la barre. L'interrogatoire de Reardon se concentre sur Conrad Basinsky. Le même jour, la navette spéciale qui devait ramener celui-ci de la station orbital Daedalus d'Ares où il se trouvait, est clouée au sol par des prévisions météo qui ne se concrétiseront pas. | |
7 juin | Conrad Basinsky est appellé à la barre. La séance est ajournée le temps qu'il puisse revenir sur Terre. | |
10 juin | Le juge Clayton propose un interrogatoire de Basinsky par visio-conférence, accepté par les deux parties. | |
11 juin | L'idée de visio-conférence est abandonnée après qu'Ares est trouvé un créneau pour une navette pour le lendemain. | |
12 juin | La navette qui ramène Basinsky atterit à Londres. Basinsky est très probablement briefé par des responsables d'Ares pendant le vol qui l'emmène à Seattle. D'après des sources non confirmées, Jean-Pierre Dupré, l'éminence grise d'Ares Global Entertainment, faisait parti du voyage. | |
14 juin | Audition de Conrad Basinsky. Celui-ci déclare connaître Grisham parce que celui-ci a cottoyé à Boston la fille d'un haut cadre d'Ares (après enquête, Grisham a effectivement frequenté une dénommée Leona Calthrop, fille du directeur de la comptabilité d'Ares New York). Toujours d'après son témoignage, Grisham n'a plus fait l'objet d'une quelconque attention de la part des services de renseignement d'Ares depuis qu'il a quitté Boston en 2056. Conrad Basinsky est avertit de se tenir à la disposition de la justice. | |
16 juin | La vice-présidente Daviar est appelé à la barre. Maître Reardon s'interesse particulièrement au droit de vote sur les parts de la Gavilan Venture dans Ares Macrotech, accordé à Damien Knight de 2057 à 2059. Plusieurs témoins identifient John Grisham dans la gare d'Ottawa, accompagné d'un homme et d'une femme. | |
17 juin | Le procès est ajourné, pour qu'il puisse éventuellement se poursuivre en présence de l'accusé. L'une des plus grandes chasses à l'homme de l'histoire est lancée. Le même jour, le Department of Justice dépose auprès d'Ares une demande d'accès à tous les dossiers que détiendrait la mégacorporation sur John Grisham. | |
19 juin | Le femme vue auprès de Grisham est retrouvée dans un état grave dans la banlieue de Detroit. Elle avait une blessure par balle sur le coté droit, bandée, et deux blessures postérieures, par balle également, dans chaque jambe. | |
25 juin | Une source interne au FBI révèle que la femme retrouvée (et décédée depuis) est la soeur de Maître Catherine Reardon, Sandrine Reardon. | |
28 juin | Par téléphone, le Juge Clayton propose à Maître Reardon de se retirer de l'affaire. Celle-ci refuse. (relaté par Clayton dans une interview le soir-même) | |
1er juillet | Inhumation de Sandrine Reardon à Lancaster en Pennsylvanie. Le Président Kyle Haeffner, la Porte Parole de la Maison Blanche Mary-Jo Pritchard et l'Attorney General Mina Pantorelli assistent à la cérémonie. Edward Bromsky accompagne Catherine Reardon. | |
2 juillet | Anthony Prescott, le chef de la police de Dearborn (Détroit sud) annonce officiellement que John Grisham est le suspect N°1 pour l'homicide involontaire de Sandrine Grisham. Selon l'inspecteur Jeffrey Kinkaid, qui a participé à l'enquête, la seule preuve dans ce sens sont les témoignages de la gare d'Ottawa. Etant donné que l'affaire recoupe le kidnapping de Sandrine Reardon au travers de plusieurs états des UCAS (qui devient donc un crime fédéral), le dossier est transmis au FBI. | |
5 juillet | Les enregistrements de video-surveillance de la gare d'Ottawa, diffusé par des canaux secrets, deviennent l'objet d'attention de presque tous les services de renseignement du monde. | |
8 juillet | L'Attorney General Mina Pantorelli demande dans une éllocution télévisée que cesse l'amoncellement d'appel téléphonique que subit le FBI sur le thème "J'ai vu John Grisham...". | |
14 juillet | Un porte-parole du FBI déclare qu'il n'y aurait pas de video montrant formellement Grisham dans la gare d'Ottawa. On ignore si il s'agit de malchance, d'un piratage externe, d'une erreur de manipulation ou d'un mensonge du FBI. | |
19 juillet | Début à Camp David d'une concertation à huis clos entre l'Attorney General Pantorelli, les membres de la Commission Scott, le juge Clayton et maîtres Bromsky et Reardon, concernant les termes de la poursuite du procès. Plusieurs médias y voient une manipulation du procès. | |
22 juillet | Conférence de presse à Camp David. Le président Haeffner déclare que le procès sera terminé avant les élections. Sa reprise est fixée au 15 septembre. | |
23 juillet | Devant la méfiance de l'opinion concernant la concertation de Camp David, un contrendu détaillé est fourni au Congrès. Il ne sera dévoilé au public qu'après la fin du procès. | |
3 août | Bromsky rencontre à St Louis, sur le lieux de ses vacances, le professeur Clifford Williamson. Personne ne sait pourquoi l'accusation du procès Grisham et le physicien nobelisable australien ont voulu se rencontrer. | |
6 août | Reardon passe en coup de vent à... St Louis. Le mystère s'épaissit. | |
8 août | Clifford Williamson est assassiné dans un restaurant du centre de St Louis. Il est possible que Bromsky est été présent, mais que la police n'est pas pu l'interroger, étant donner la protection dont il fait l'objet par le FBI (c'est un secret de polichinelle). | |
10 août | Présence confirmée de Grisham et de son acolyte à Hays dans le Kansas. Selon toute vraissemblance, ils se dirigent vers Denver. La machine policière se remet en route. | |
14 août | Le compagnon de cavale de Grisham est identifié par la CIA (et d'autres services de renseignement dans le monde). Il s'agit d'un certain Lucas Baner, un membre important du groupe terroriste international "6e Revolution", un groupe pronant une place fondamentale de la magie dans l'organisation du monde, et probablement une émanation d'un groupe hermétique. | |
15 août | Début à Washington d'un grand rassemblement, dénonçant la volonté du gouvernement et du FBI d'éliminer Grisham plutôt que de l'ammener à son procès, en pointant vers le formidable déploiement de moyens mis en oeuvre. | |
17 août | L'Attorney General Mina Pantorelli déclare qu'aucune inculpation contre des membres connus du groupe "6e Revolution" dans le cadre de l'assassinat de Dunkelzahn ne pourrait être faite avant que le procès de Grisham n'est pus éclaircir les circonstances de l'assassinat. Elle confirme aussi qu'il lui parait indispensable que la procès puisse se terminer en présence de l'accusé. | |
20 août | Kenneth Brackhaven, l'ex-candidat à la présidence et raciste notoire, déclare dans une interview télévisé soutenir le rassemblement de Washington. | |
21 août | Les meneurs du rassemblement de Washington déclarent refuser en bloc "le moindre soutien, même verbal, de monsieur Brackhaven et de ses amis". | |
22 août | Le rassemblement de Washington devient le théatre d'incidents racistes de plus en plus nombreux. Les organisateurs dénoncent un sabotage de leur action, alors que les arrestations commencent. | |
25 août | Grisham et Baner sont à Denver. | |
26 août | Alors que Grisham soit sur le point d'être retrouver par la police, les organisateurs du rassemblement de Washington finissent par mettre fin à leur action. | |
27 août | Les polices des secteurs des CAS, Sioux, Pueblos et Ute de Denver déclarent aider leurs homologues américains à retrouver Grisham. | |
29 août | Grisham et Baner sont arretés par la police Sioux. Le soir même, des représentants du gouvernements Sioux et des UCAS, ainsi que d'Interpol, se rencontrent pour discuter des termes de l'extradition. On ne saura rien du contenu des négociations. | |
1 septembre | Grisham est extradé vers les UCAS. Apparament, ca n'est pas le cas de Baner. Parmi les rumeurs, on dit que Baner se serait enfuit, ou qu'il aurait abattu plusieurs policiers Sioux. | |
2 septembre | Le directeur du FBI à Denver déclare que le transfert de Grisham se fera sous la plus haute sécurité, ce qui prendra un peu de temps à être organisé. Son lieu de détention est gardé secret, mais on sait par quelques fuites que le FBI, les US Marshalls et l'US Army en assurent la sécurité. | |
5 septembre | Des membres du Congrès laisse entendre que Grisham serait à Washington pour être entendu par la Commission Scott, avant d'être envoyé à Seattle pour son procès. | |
8 septembre | Grisham est à Seattle. Maître Reardon aura probablement de très longue discussion avec lui avant le redémarrage du procès. il n'y a guère que 5 mois de procès à revoir. Il est placé en détention dans une pièce spécialement aménagé de la Cour du Métroplexe de Seattle. | |
15 septembre | Reprise du procès, en présence de l'accusé, John Grisham. La séance est purement formelle : on soumet à l'accusé plusieurs pièces du dossier. Il plaide coupable, ce qui prend au dépourvu aussi bien Maître Bromsky que Maître Reardon. Il obtiennent une suspension de séance jusqu'au lundi suivant (le 20 septembre) pour prévoir des interrogatoires adaptés. | |
17 septembre | Des avocats de la NACLU (North American Civils Liberties Union) dépose une demande de mise en liberté conditionelle pour John Grisham (a priori, Catherine Reardon n'a rien à voir avec cette action). Ils sont déboutés. | |
20 septembre | Interrogatoire
de Grisham par l'accusation (qui commence car Grisham
plaide coupable). Bromsky détaille très précisèment
son emploi du temps de la semaine de l'élection. Grisham
nie avoir eu le moindre complice. Il justifie son acte
par le fait que l'élection de Dunkelzahn à la
présidence "n'était pas une bonne chose". Les mêmes avocats de la NACLU déposent un recours pour la liberté conditionelle, en tirant toutes les ficelles légales possibles et imaginables, au travers d'une série de jurisprudences en cascade (en gros, la fuite de Grisham ne pourrait pas entrer en ligne de compte étant donné qu'il n'avait pas reçu en personne son inculpation). |
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21 septembre | Interrogatoire de Grisham par la défense. Reardon repose à six reprises la question "Avez-vous eu un ou des commanditaires ?". Elle obtient deux réponses évasives, trois silences et un "Non." | |
22 septembre | A peine l'audience commencée, Maître Reardon demande une entrevue en privé avec le juge Clayton. Clayton, Reardon et Bromsky ont une discussion dans le bureau du juge Clayton jusque tard dans la soirée. Apparement, Maître Reardon remet en cause une grande partie de l'enquête du FBI, dont le classement de certains parties dossiers TOP SECRET E.S.I (Extremely Sensitive Information). | |
23 septembre | Pas de
séance. Des coups de fil s'échangent entre Seattle et
FDC : le Ministère de la justice, le FBI, la Maison
Blanche et le Pentagone. La demande de liberté conditionelle de Grisham est renvoyé devant... la Cour Suprême (!). |
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24 septembre | Richard
Scott, le président de la Cour Suprême (qui dirigait
aussi la commission qui porte son nom sur l'assassinat de
Dunkelzahn) déclare dans une allocution officielle que
le cas de la liberté conditionelle de Grisham sera
étudié tout à fait indépendament de l'affaire
elle-même, comme il se doit. Pas de séance non plus. Maître Reardon déclare face au caméra ne rien avoir à faire avec la demande de liberté conditionelle de son client. |
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25 septembre | le sénateur républicain Anthony Hood reproche dans une interview au gouvernement la médiatisation excessive du procès Grisham, qui est "un bafouement flagrant des valeurs de la démocratie américaine". "Jonathan Grisham doit être jugé comme n'importe quel citoyen accusé de meurtre." | |
27 septembre | Clayton refuse à Reardon d'avantage de temps. Elle reprend l'interrogatoire de Grisham en lui demandant de détailler très précisèment la manière dont il a tué Dunkelzahn. | |
28 septembre | Grisham continue de répondre à la question de Reardon. Autant dire que la séance devient un cours un thaumaturgie très avancé, qui n'a rien à voir avec la sorcellerie rituelle classique. Plusieurs chercheurs font le déplacement pour y assister. A la fin, Reardon lui demande à quel moment servaient l'écaille et le sang de Dunkelzahn. Grisham lui répond qu'il n'ont pas servi à l'attentat. Il ajoute même qu'il lui aurait été plus simple d'utiliser une sorcellerie rituelle sur le chauffeur plutôt que sur le dragon. | |
29 septembre | Maître Reardon, soutenu par Bromsky, demande à faire passer à la barre Lucas Baner. | |
30 septembre | Le Président de la Cour Suprême, Richard Scott, annonce le verdict de la cour pour le Lundi 4 octobre. | |
1er octobre | Un journaliste du New York Observer accuse Reardon et Bromsky de travailler de concert sans tentative contradictoire. Le soir même, Bromsky déclare au médias qu'ils travaillent effectivement de concert "dans le seul but de découvrir la vérité." "Mon but en tant que procureur n'est pas de faire condamner John Grisham, il est de faire condamner tous les coupables." | |
3 octobre | Entrevue à Denver entre responsables Sioux et des UCAS, concernant Lucas Baner. Le contenu nous est complètement inconnu. | |
4 octobre | La Cour Suprême accorde la Liberté Conditionelle à John Grisham, contre une caution recommandé à 10 millions de dollars (mais où est ce qu'un truc pareil peut être écris dans la législation américaine !?) | |
5 octobre | Selon certaines rumeurs, plusieurs groupes aurait commencé à réunir de l'argent pour la caution de Grisham. | |
8 octobre | Début d'un week-end de réunion à Lyon, au siège d'Interpol, entre émissaires des UCAS et Sioux, avec aussi le secrétaire général d'Interpol, et la présence non confirmé d'Antoine Cavret, le Directeur des Opérations de la NMA. Si il s'agit toujours de Lucas Baner, pourquoi est-ce que les Sioux peuvent autant de dificultés ? C'est qui ce type... | |
à suivre...