l'Egypte urbaine

 

Alexandrie (Al Iskandariyah)
5,5 millions d'habitants

Températures : 15 - 28° celsius
Précipitations 200mm / an
Transport: circulation encombrée aux heures de pointe habituelles. Ligne de train maglev dans le centre-ville. Aéroport national en banlieue. Distance du Caire (route) : 221 km

>>> En 2038, l'attentat à la bombe parmi les plus mortels de l'histoire égyptienne à lieu en plein centre-ville d'Alexandrie : plus de 200 victimes seront dénombrées. Partant des décombres, les corporations ont financé un important projet d'urbanisme pour l'ensemble de la ville.
Le nouveau centre-ville, ultra-moderne, inclus un bloc de tour corporative à la base de la presqu'île de Pharos, et, juste à l'est de celui-ci, le quartier de la Bibliothèque. La nouvelle grande Bibliothèque d'Alexandrie est aussi le noeud le plus massif de la Matrice egyptienne (elle a son propre RTR). Dans le même quartier se trouve l'Université de Magie & Technologie d'Alexandrie, la palais d'exposition, le musée d'Alexandrie et l'Opéra Oum Kalsoum.
> La ville essaie de promouvoir ses aspects touristiques : la majorité des industries sont éloignés vers les villes voisines, et le litoral a été le plus dégagé possible, notament la presqu'île de Pharos, le Cap Lochias et les îles. Le port du centre-ville devient petit à petit un port de plaisance, et le nouveau port, à l'ouest de la ville, est un complexe moderne et bein entretenu par les corpos. Par contre, le rivage du Lac Maréotis concentre encore de nombreuse industries polluantes, donc les raffineries de pétrole de la Zen-Marsh Chemicals (une filiale de la Mitsuhama).
> En plus de la police égyptienne (et au mécontentement de celle-ci), la ville a un contrat de sécurité avec Hard Corps (filiale d'Ares). Le profil de sécurité de la ville est B. C'est la grande ville d'Egypte la moins touchée par les actes terroristes, même si les terroristes sont bien présent à Alexandrie, qui est leur point de passage vers le reste de la Méditerranée.

 

 

Le Caire (Al Qahirah)
18 millions d'habitants

Climat : 18 - 22 - 36° celsius
précipitations <20mm / an
Transport : circulation fluide, deux lignes de métros, Tahrir - Helouan (NS) et Heliopolis - Gizeh (EO)

> La vieille ville (la rive droite du centre-ville) est resté inchangée : les batiments officiels à la périphérie, le Bazar, les mosquées dont la mosquée al-Azhar qui abritte une université, la citadelle médiévale, et le musée d'Art Egyptien sur la rive, en face de la tour du Caire sur son île. L'île précédente sur le du Nil abritte le Jardin Zoologique, avec en face, sur la rive gauche, l'Université du Caire. La majorité des rues sont piétonnes, et le ministère du tourisme dépense beaucoup d'argent pour la quartier reste assez pitoresque mais aussi assez propre pour le touriste occidental moyen.
> Le nord de Gizeh est la principale zone industrielle du Caire. La base militaire à l'ouest accueille entre autre un contingent des forces spéciales.

> La périphére sud-ouest de la ville est occupé par l'Aire Archéologique, interdite à la construction, avec au nord le Sphinx et les trois Grandes Pyramides (Kheops, Kephren et Mykerinos). L'embrasement des pyramides de Gizeh est de loin le plus impressionant de tous , les trois pyramides étant les seules à le subir de manière synchronisé. Plusieurs corpos font pression pour pouvoir batir un observatoire dans l'Aire.

>Un champ d'expérimentation du projet "Sahara Vert" a été intallé à coté des l'Aire. Ce champ au pied des pyramides vise surtout les médias et les investisseurs. Chaque embrasement affecte tellement la magie utilisé que l'entretien du champs coûte une fortune, près de trois fois le budget d'un champ équivalent ailleurs dans le pays.

> Sur la rive gauche, au nord, Imbabah, autrefois planque du terrorisme, est devenu le centre d'affaires, intégrant les tours corpos et des centres commerciaux à l'occidentale. A cause des attentats, il n'y a aucune poubelle dans les rues, et le stationnement y est limité à vingt minutes. Le quartier reste la cible préférée des terroristes pour atteindre les corpos.

> Le sud de la ville, Gizeh sur la rive gauche et Helouan sur la rive droite, sont les quartiers à majorité paganistes. Une zone militaire qui s'y trouvait a été supprimé en 2035, suite à une périodes d'altercations particulièrement violentes entre croyants et militaires. Le terrain de la base a été cédé par le gouvernement à la communauté paganiste, pour devenir le quartier des temples. Si beaucoup sont encore en chantier, les plus modestes, déjà finis, sont de véritables merveilles.

> Les quartiers d'El-Maj, El Salam et El Obou, au nord-est, sont les plus pauvres de la ville. C'est l'endroit des planques et des trafics.

> L'est de la ville est le quartier le plus aisé, Heliopolis. Comme c'est là qu'habitent la majorité des cadres corpos, la voie rapide qui va de Heliopolis à Imbaba est complètement saturée à 8h et à 17h.

> L'aéroport Heliopolis du Caire. Ses deux pistes rallongées dans le désert sont assez longues pour accueillir les vols sub-orbitaux. La sécurité est prise très au sérieux.

> Nasser City est le quartier branché du Caire : un peu traditionnel, un peu ultra-moderne. En sus de leurs tours dans Imbabah, plusieurs corporations ont içi des zones d'entreprises extra-territoriales avec logement, unités de production et forces militaires. C'est le quartier où le nombre cumulé des attentats et des descentes de police est le plus faible.

 

 

Khartoum - 2,5 millions d'habitants

Températures : 23 - 34° celsius
Précipitations 220mm / an
Transport : infrastructure en mauvaise état, circulation clairsemé. Aéroport national en centre-ville.

>>> Au confluent du Nil Bleu (à l'ouest) et du Nil Blanc (à l'est), la ville de Khartoum était la capitale du Soudan jusqu'à l'annexion du pays par l'Egypte en 2038. Nettement moins moderne que les villes d'Egypte, le niveau de vie à Khartoum a encore baissé pendant la campgne militaire d'annexion, de nombreuses ruraux fuyant leurs villages pour la ville
> La population de Khartoum est à majorité musulmane, mais est une base arrière pour presque tous les groupes terroristes, y compris les pharaonistes ou les touaregs. La ville est en effet très mal fliqué : l'intégration des forces de police (à part ceux qui ont rejoint les Libérateurs Soudanais) dans la police égyptienne centralisé a été source de beaucoup de problèmes toujours pas réglés.
> Si des troubles trop graves éclate en ville, la police est vite dépassé, et il est alors fait appel aux forces militaires égyptiennes stationné aux alentours de la vile. C'est le seul cas où le commandement fait sortir les troupes.
> Autrement, Khartoum est en proie à une petite criminalité incontrôlable (niveau de sécurité C-E), en particulier dans les quartiers de Ondurman et Umbaa (rive gauche du Nil Bleu).Les égyptiens et les corporations installé en ville le font esentiellement dans Khartoum intra-muros (entre les deux fleuves). c'est là que se trouve l'aéroport national, le musée d'archéologie et le parc de Khartoum. Enfin, le dernier quartier de la ville, Khartoum Nord (rive droite du Nil Blanc) reprèsente une bonne part de l'activité économique de le ville : usines et commerces encore en activité sont pour la plupart là. Car Khartoum subit un chomage important, enclenché par la fin de l'administration soudanaise, et qui s'est répercuté à toute les activités, un phénomène amplifié par les échanges avec la Basse Egypte. A ce rythme, dans vingt ans, tout Khartoum sera devenue une bidon-ville.

 

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