LES
SERVICES SECRETS DES ETATS
les
UCAS
Les UCAS
ont conservé la merveilleuse organisation des services
secrets des USA, connue depuis longtemps sous le nom
d'Intelligence Community (IC). N'essayez pas de comprendre qui
doit faire quoi, personne ne sait (même pas eux). Les services
qui l'a composent sont :
- La CIA (Central Intelligence Agency) est plus ou
moins encore la plus grosse centrale de renseignement
dans le monde. Pas grand chose à dire de plus, sinon que
ce sont des bourrins finis, qui gaspillent leur budget
dans des opérations gargentuesques de renversements de
gouvernements, de trafic internationaux d'armes et de
drogues, ce genre de chose. La CIA est sans doute l'une
des rares choses que craignent encore les mégacorpos AAA
qui mènent la barque mondiale, même si l'agence n'a
jamais mené de grande opération contre elles. Depuis
2035, le QG de la CIA n'est plus à Langley mais à Fort
Denton (toujours en Virginie). Au fait, la CIA n'a pas le
droit d'agir sur le territoire des UCAS, mais
visiblement, tout le monde s'en fout...
- La NSA (National Security Agency) s'occupe du
renseignement électronique, ce qui inclus les écoutes
téléphoniques dans le monde entier via le système
ECHELON, qu'on ne présente plus, et le piratage
informatique, ainsi que la sécurité informatique.
L'équipe Echo Mirage dépend de la NSA depuis 2041 (bien
que la CIA aimerait bien récupérer son jouet). La NSA
pratique un forcing auprès du Congrès depuis quelques
années pour obtenir chasse gardé sur le renseignement
magique. Il est de notoriété publique (ou presque) que
la NSA a aussi quelques agents de terrains qui
manient mieux la gachette que le cyberdeck. On lui
reproche aussi beaucoup quelques accointances de mauvais
goût avec les corpos. Son QG est à Ft Meade (Maryland).
- Le FBI (Federal Bureau of Investigation) s'occupe
du contre-espionnage sur le territoire des UCAS (et plus
ou moins en Amérique Latine) et passe plus ou moins pour
une bande de bureaucrates enmerdeurs au yeux des autres
services. Il faut reconnaître néanmoins qu'il se donne
les moyens de lutter contre les terroristes (au
détriment des magouilles corporatistes... comme c'est
arrangeant !). La DEA (Drug Enforcement Administration) fait dans
la lutte anti-drogue : avec la quantité de gouvernements
et de corpos qui y participent (y compris la CIA) et les
moyens déployés, leur activité est assez proche de
celle du renseignement classique. La DEA se débrouille
toute seule autant que possible (jusqu'à ce qu'il faille
les SEALs pour libérer un agent retenu en otage chez un
trafiquand).
- Le Secret Service dépend du Department of Treasury. Les faux
de billets et de documents officiels sont de son ressort,
de même que la sécurité des officiels des UCAS. En
règle générale, la constitution d'une fausse ID pour
les besoins d'une opération doit passer par eux. Leur
activité contre-terroriste est défini par les
renseignements fourni par les autres membres de la
communauté, alors ils sont forcèment toujours en retard
d'un train.
- La DIA (Defence Intelligence Center) coordonne les
Armed Services Intelligence : c'est à dire en
gros l'Air Intelligence Agency ), le NRO (cf ci-dessous),
l'Intelligence & Security Command (pour l'Army) et
l'Ofice of Naval Intelligence. Tout ce petit monde est
installé au Pentagone. Au niveau opérationnel, ils ont
tout ce qu'il veulent : avions furtifs, commandos,
satellites,...ca leur appartient après tous. Les
attachés militaires dans les ambassades des UCAS
dépendent aussi de la DIA.
- La NRO (National Reconnaissance Office) gère tous
les satelites d'observation des UCAS. Elle reçoit des
commandes de la CIA, envoie et entretient ses satellites
grâce à Ares et dépend pour partie de l'US Airforce.
En clair, ce sont des loufiats, mais des loufiats dont
personne ne peut se passer, et qui coûtent cher au
contribuable.
- ...parmi les petits joueurs, citons le
BIR (Bureau of Intelligence and
Research, compile les renseignements pour la diplomatie)
et la NIMA (National Imagery and Mapping
Agency,qui gère la diffusion de l'imagerie au sein de la
"Communauté"). Ses services sont
essentiellement composé de bureaurates,d'analystes et de
techniciens, et n'ont aucune capacités opératives, mais
participent néanmoins au bordel structurel qui
caractérise Communauté.
les
CAS
Après
la sécession, le nouveau gouvernement des CAS a profitté de
l'occasion pour rénover la partie de l'Intelligence Community
qui leur revenait (faut avouer qu'elle en avait bien besoin).
résultat, c'est beaucoup plus simple.
- L'IOA (Intelligence & Operative Agency),
aussi connu sous le sobriquet d'"Iowa" est le
service de renseignement extérieur des CAS. Elle traîne
encore derrière les mauvaises images de la CIA ET
de la NSA, mais sans en avoir garder les mauvaises
habitudes (elle a par exemple été longtemps soupconné
dans l'affaire Bennett). pour l'instant, son potentiel
est franchement sous employé, à part quelques missions
bien chaudes en Aztlan. Elle respecte même sa charte en
n'agissant presque jamais sur le territoire des CAS (à
part au Texas et à Denver, où il y a énormément de
monde).
- Le CBI (Confederation Bureau of Investigation)
regrouppe FBI, DEA, ATF (Alcohol, Tabac & Firearms),
l'OCTF (Organized Crime Task force) et Secret Service.
Entre donc dans ses attributions le contre-espionnage et
l'anti-terrorisme. Depuis l'affaire Bennett, le CBI a
suffisament de moyens et d'autorité pour demander
régulièrement à ses petits camarades s'ils ont besoin
d'un petit coup de main (qui le prennent plus ou moins
bien).
- L'Army Intelligence, la Naval Intelligence et l'Air Intelligence sont chapeautés par une division
renseignement de l'Etat-Major (apparemment, ca marche).
Les trois s'occupent des actions des forces spéciales
dont celles "suggérées" par l'IOA (qui ne
veut pas se mouiller) en plus du renseignement classique.
Elles sont à l'origine de la coopération avec les
services de renseignement Pueblos.
- Le CSS (Confedered Surveillance System) pratique
le renseignement électronique (écoutes, piratages) et
la reconnaissance satellite. Il est également à la
pointe du renseignement astral, à force de se frotter
aux aztlaners. Depuis 2044, le CSS participe au réseau
ECHELON des camarades de la NSA.
l'Etat
Libre de Californie
Contrairement
au CAS, La Californie a presque entièrement refondu ses services
de renseignement après avoir obtenu l'indépendance. Le
résultat est discutable, mais c'est plutôt dû à la situation
politique de l'Etat qu'autre chose. Quoique...
- Le seul point notable dans le
renseignement californien (et qui fait parlé de lui) est
l'Intelligence
Service (nos amis de Seattle connaissent peut-être
bien la société Dadson Vision, qui lui sert de
paravent). Les activités de l'IS couvre virtuellement
tous ce qu'elle veut, du moment que ca rentre dans son
budget (on lui impose quand même un minimum quand au
contre-terrorime). Il entretient aussi ses propres
commandos d'élite (vu la spendeur de l'armée
californienne, c'est pas une surprise), et il a même
deux satellites d'observation (dont un en
géostationnaire au dessus de la côte ouest). Mais le
point véritablement important sur ce service, c'est
qu'il est entièrement à la botte des services secrets
japonais (qui a leur tour rencarde les corpos : sympa,
non ?). Et si un agent de l'IS nie ceci, demandez lui
comment ils ont obtenu leur deux sats Fuchi à moitié
prix ou pourquoi l'organigramme de son service est
exactement le même que celui de la Japanese Intelligence Agency... Au dernière nouvelle,
elle se subdivisait en six sections, mais le nombre et
les attributions change régulièrement.
- Les renseignements militaires
californiens sont à l'image de son armée : rien du
tout. Pas d'agent de terrain, pas de réseau, juste des
analystes qui regrouppent les infos recueillis par les
unités de combat et celle communiqué par les japonais.
la
République du Québec
Les
services secrets du Québec sont performants. Ils sont trop
petits, trop mal équipés et trop coincé dans les embrouilles
politiques pour occuper le devant de la scène, mais ceci prit en
compte, ils sont performants.
- Le BSIE (Bureau de la Sécurité et de
l'Intelligence Extérieure) dépend du ministère des
Affaires Etrangères. Contrairement à la majorité de
ses homologues, il est collecte lui-même ses
renseignements (ce qui lui donne sa place ici). Son
directeur (actuellement Joseph Michelet) pilote
littérallement le ministre des Affaires Etrangères. La
veille des nouvelles menaces, en particulier pour le
terrorisme, est l'activité la plus spécifique du BSIE.
- Le SRS (Service du Renseignement et de la
Sécurité) est chargé de tout l'espionnage et le
contre-espionnage. C'est à dire que si quelques chose
aurait dû être fait et n'a pas été fait (comme le
coup de la Confrérie Universelle), c'est de leur faute,
jamais celle des autres services. Le service et le
gouvernement se font donc la gueule depuis très
longtemps. C'est pourquoi le SRS s'évertue à fouiller
du coté des corpos (et trouve forcèment des tonnes de
trucs, tu m'étonnes) devant qui le gouvernement fait des
courbettes. Les opérations des Seraphims
de la CATCo étaient leurs
cibles préférés, mais c'est devenu trop dangereux pour
eux.
- La DRD (Division Renseignement de la Défense) est
le service du renseignement militaire. Alors que les
forces armées québécoises sont plutôt calmes, leur
renseignement passe le temps en s'intéressant
systématiquement à tous ce qui se passe en Amérique du
Nord et qui ne les regardent pas. Elle a des contacts
suivis avec (c'est suffisament rare pour être signalé)
les Danseurs Devins
des NAO, et aussi quelques groupes indépendantistes de
Seattle.
- L'ESC (Etablissement de la Sécurité des
Communications) dépend également du ministère de la
défense. Malgré son nom, il s'occupe à la fois de
l'espionnage électronique et informatique et de la
sécurité de ses domaines. Il entretient une relation
bizarre avec la corpo Cross Applied Technologies, entre la symbiose et la rivalité
(pourquoi l'industrie logiciel du Québec se résume à
la CATCo ? Parce que l'autre moitié des programmeurs
québécois sont tenus au Secret Défense à l'ESC). Son
sytème informatique n'est pas imprenable, mais il
recèle quelques petits programmes qui ont de l'avenir
(comprendre : qui intéressent beaucoup de monde).
les
Nations des Américains d'Origine
Les
Nations des Américains d'Origine, prises séparément, ne sont
pas des acteurs majeurs du monde des renseignements. Au niveau
global, le Conseil Tribal Souverain a bien compris l'importance
du renseignement dans les relations internationales.
- Les services de
renseignement des NAO sont pour l'essentiel ratachés au
ministère de la défence de leur nations respectives, et
plus particulièrement à l'armée. Dans la majorité des
cas, ceux-ci ne se préoccupent que de considérations
géostratégiques, laissant de coté la politique et
l'économie. Les dossiers terroristes sont laissée à la
Police (sauf au Conseil Salish-Shide et en Nation Sioux,
ou les Forces Spéciales s'intéressent à ce genre de
dossier).
- Les Danseurs Devins, placés sous l'autorité du CTS, sont
connu pour avoir été le premier service de
renseignement a utiliser la magie. En fait, il dépend
presque entièrement d'elle. Bien qu'il y ait eu des
efforts pour changer cette situation (nottament des
investissements importants dans du matériel d'espionnage
électronique), les commandos des WildCats Sioux sont
souvent mis à contribution quand la magie ne peut-être
utilisée. L'absence d'équipement de surveillance
satellite se fait également cruellement sentir. Les
Danseurs sont néanmoins particulièrement efficace pour
assurer la sécurité du CTS contre les actions
clandestines et les infiltrations (reste cette rumeur
jamais prouvée d'un agent du Mossad infiltré au Conseil
entre 2016 et 2027...).
Tir
Tairngire
Comme sur
le scène politique, le royaume du Tir est discret dans le monde
de l'espionnage. Pour l'instant, personne ne leur cherche trop de
noises, mais ca pourrait ne pas durer... Et faudra voir la
réaction.
- Le Pelethir (si mon Sperethiel n'est pas trop rouillé,
"le cercle des espions" ou quelque chose du
genre) est le seul service de renseignement du Tir, et
dépend de l'armée. Ils effectuent un flicage politique
plus qu'efficace à l'intérieur du Tir, mais on très
peu d'opérations en dehors du territoire : avec 95%
d'agents elfes, c'est surement pas évident d'être
discret (les esprits les plus ouvert au sein du service
ayant souvent, comme ailleurs, une progression
hierarchique nulle ou négative). En conséquence, ils
ont investi des sommes considérables dans du matériel
d'espionnage électronique et orbital, plus un contingent
de mages espions très actif à défaut d'être les
meilleurs. Ils collaborent aussi énormément avec des
services européens (et ils ne sont pas en position de
faire les fiers).
- Les Paladins, forces spéciales affiliées au conseil
des princes est une unité d'élite, qui pratique
couramment les opérations commandos, la protection
rapprochée et un peu de renseignement. Ils se chargent
de tous les sales boulôts du gouvernement, avec une
préférence très marquée pour les éliminations
directes, rarement subtiles, mais sans laisser de
preuves. En dehors de la protection des personnalités du
Tir, ils n'effectuent que des opérations ponctuelles.
Aztlan
Désolé, l'article n'est pas édité
à cause d'un problème de source.
La
Nation Amazonienne
Nos braves
écolos diposent de services de renseignement assez coriaces,
crées par d'ex-écoterroristes. Enfin, pas si ex que cà,
puisqu'ils aident massivement de nombreux groupes
écoterroristes, et montent même quelques opérations eux-même
à l'occasion (NdlA : j'ai pas réussi à remettre la main sur
les noms officiels des services, qui sont en Portugais ou en
Esperanto je crois).
- La Division de la Sécurité
du Territoire (qui est l'équivalent d'un
ministère) gère à la fois les forces de défense,
essentiellement une artillerie magique monstrueuse et des
unités de recons (qui font la police dans la Jungle) ;
et le contre-espionnage. C'est là que sont concentrée
les plus rationels et les plus terre à terre du
gouvernement amazonien (y compris un ou deux cinglés de
pouvoir sacrèment dangereux). La division a beaucoup
trop de travail en dehors du renseignement pour y être
efficace. Elle possède néamoins beaucoup d'informateurs
et d'agents infiltrés (parfois très haut) dans les
gouvernements de pays du tiers monde. Il noyaute de même
pas mal des mouvements écologistes modérés en Europe.
- Le Service d'Information et
d'Action est en charge du renseignement
extérieur, et de la "promotion des idéaux qui ont
présidé à la constitution de la Nation
Amazonienne". Ce sont donc eux qui financent et
entrainent presque tous les groupes écoterroristes dans
le monde (à part TerraFirst! et quelques groupes
"Elfes Only" avec qui ils entretiennent une
haine tenace). En fait, ils ont des accointances avec des
groupes terroristes de tous horizons : les écologistes,
mais aussi avec les néo anarchistes, les pan-européen,
les amérindiens, les arborigènes, les pan-islamistes ET
en même temps les rebelles touaregs, et ainsi de
suite... Les passeports diplomatiques amazoniens se
retrouvent entre les mains de pas mal de monde. A
l'occasion, le service accomplit lui-même des actions
clandestines dans le sens politique du gouvernement
amazonien (comme, parmi les grandes ironies de
l'histoire, le sabotage du croiseur Griffon de
Saeder-Krupp en 47 dans les eaux sud-africaines, en collaboration
avec la DGSE française).
Le
Royaume-Uni
Le
renseignement britannique a depuis longtemps une certaine
réputation quand à la qualité de ses agents et analystes (sans
oublier les légendaires commandos du SAS). Mais ses services par
contre, malgrès leurs effectifs et leurs moyens, arrivent à des
résultats bien en dessous de ce qu'ils devraient normallement
être capables de faire (on ne peut leur nier néanmoins quelques
coups d'éclat).
- Le MI-6 (ou SIS pour Security Intelligence Service)
est le service de renseignement extérieur ("My name
is Bond..."). Si ses agents sont souvent talentueux,
son organisation interne, avec un découpage strict en
zone géographique, n'est pas toujours très efficace.
Quand à le section "Global", elle est
chroniquement surchargé, et a le plus grand mal à
obtenir des sections régionales les informations
nécessaires. Il est depuis longtemps question de
réformer le système, mais le conservatisme anglais
n'aide pas. La vieille rivalité avec le MI-5 se
manifeste de manière cyclique. L'actuel "Mr C"
(cad le chef du MI-6, depuis la capitaine Cumming,
premier chef de l'ancétre du MI-6) est plutôt favorable
à une collaboration poussée avec le MI-5. Son avis,
donc celui du MI-6, est tout à fait différent
concernant le DIS.
- Le MI-5 (ou SS pour Security Service) se charge de
la sécurité du Royaume-Uni, c'est à dire du
contre-espionnage et du contre-terrorisme (pour les
téléphiles du XXe siècle, c'est là qu'officiait John
Steed). Ses moyen on considérablement grandi depuis la
privatisation de Scotland Yard (à qui le gouvernement
répugne de confier les affaire de terrorismes). Il peut
par exemple procéder à des arrestations (auparavent, il
devait faire appel à la police). Il existe par contre un
tribunal spécial, crée en 1989, qui juge les cas
d'illégalités commis par le service (rares, ses
affaires sont à chaque fois des bombes médiatiques).
- Le Government Communications
Headquarters (GCHQ)
est le service de renseignement électronique ainsi que
de la sécurité électronique du Royaume-Uni. Ils sont
carèment redoutable sur la sécurité et le cryptage,
doué pour l'interception de signaux et le décryptage,
et franchement à la bourre sur l'espionnage
informatique. Heureusement pour eux, la Grande-Bretagne
est l'un des premiers pays à collaborer activement avec
la NMA. Le GCHQ
participe aussi au système ECHELON.
- Le DIS (Defence Intelligence Staff) est le
renseignement militaire britannique, commun à l'Army, la
Royal Navy et la RAF. Son panel d'activité est
extrèmement large, et sort beaucoup du contexte
militaire. Moins grand que les deux MI, le DIS prend une
affaire en charge, quand ces derniers n'ont pu prévenir
la situation à temps. Cette position d'ultime recours a
crée certaines tensions entre ces services, mais on fait
beaucoup pour la réputation du DIS dans le monde des
services secrets.
- Le Joint Intelligence Commitee (JIC) supervise le travail de tous ces
services, en attribuant (ou retirant) les dossiers à
chacun (par exemple le désistement des MI au profit du
DIS est de leur ressort). Elle comporte d'excellents
analystes parmi ses effectifs, qui sont chargés des
situations les plus épineuses.
la
France
Si par le
passé, les services francais ont eu une excellente réputation,
leur principale qualité aujourd'hui est d'être parfaitement
sous le contrôle du pouvoir politique, qui le leur rend bien.
Les renseignements français sont considérés comme les mieux
équipés du monde.
- La DGSE (Direction Générale de la Sécurité
Extérieure) se charge de tout opération d'espionnage ou
de contre-espionnage (standard, électronique ou magique)
à l'extérieur du territoire, ce qui ne l'empèche pas
d'agir également sur le sol français (elle a le droit
de la faire, c'est pas le cas de tous ceux qui le font).
Ses effectifs militaires pour les opérations spéciales
proviennent traditionnellement (depuis une cinquantaine
d'année) des Centres d'Entrainement Parachutiste (dont
les effectifs d'instructeurs sont composés de commandos
d'elite en surnombre). Sa plus célébre (et
controversée) opération est sans doute l'opération
Tanto dans les années 40.
- La DST (Direction de la Sûreté du Territoire)
assure la sécurité intérieure de la France :
contre-espionnage, anti-terrorisme, ... Dans ce cadre,
elle peut opérer à l'étranger (elle pratique nottament
une désinformation de "qualité" par le
retounement d'agents enemis).
- La DRM (Direction du Renseignement Militaire) est
le moins actif des services français. Elle ne réalise
d'opérations de renseignement que dans le cadre
d'opérations militaires françaises. Seule la section
gérant les satellites d'espionnage est pleinement active
en permanence.
- La Police Populaire (qui n'a de populaire que le nom) n'est pas
véritablement un service secret. Cependant, elle peut
avoir à mener des opérations de contre-terrorisme (dans
le cas ou les terroristes sont des citoyens français),
pour lesquelle elle n'a pas vraiment les épaules. Les
autres services font parfois appel à elle lorsque le
dossier traité à des ramifications dans la pègre.
- La Police Secrète, dont l'organisme
central n'est autre que les RG
(Renseignements Généraux) ne surveille que l'élite
française, nobles et personnes impliquées dans la
politique. Elle travaille plus à des fins politiques
qu'autre chose.
- La Transpolice est une unité de la société Telecom
Matrice Technologie qui est sous le contrôle de l'Etat
français. La Matrice française étant de la
responsabilit de TMT, la Transpolice a pour but de
contrevenir à toutes les infractions graves sur le
réseau, y compris le piratage de sites sensibles et le
terrorisme informatique. N'ayant pas les moyens légaux
et matériels d'agir à l'étranger (en dehors de la
Matrice), elle fournit de nombreuses informations à la
DGSE et à la DST, auquels elles se heurte aussi parfois.
l'Allemagne
De tous
les services de renseignement, ceux d'Allemagne sont sans doute
ceux qui ont le plus de problèmes structurels à règler (si,
pire que l'Intelligence Community des UCAS !). La machinerie
allemande n'est plus depuis longtemps un outil efficace de la
politique extérieure, même si elle fait a peu près son boulôt
(mais pas plus).
- Le Bundesnachrichtendienst (BND), Service Féderal de
Renseignement, toujours appelé dans le monde du
renseignement, l'Org "GEHLEN"
(c'était son nom entre 1946 et 1956, et c'est resté).
Il s'occupe du renseignement extérieur (ses agents n'ont
pas le droit de porter d'armes sur le territoire depuis
une loi de 2026). Il comporte 7 divisions (Abteilung) :
renseignement opératif, renseignement technologique,
analyse, administration, sécurité interne,services
centraux et renseignement magique. Officiellement, il n'y
a donc aucune division qui réalise des opérations
clandestines. Ce qui n'est EVIDEMENT pas le cas en
réalité : elles en font toutes.
- Le Bundesamt für Verfassungschutz (BfV, Office fédéral
de Protection de la Constitution) est un service de
contre-espionnage. Un, parce que le gouvernement allemand
serait bien ambarassé si il ne pouvait compter que sur
eux. Il possède une organisation assez exotique (déjà
le nom...) : il est dirigé par un président et un
vice-président, a une division territoriale par Lander
absolument inefficace, et il possède à chaque niveau
local une division terrorisme de droite et une terrorisme
de gauche (dans cette optique, plutôt que de multiplier
les divisions, l'écoterrorisme et les pro-européens
sont tous de gauche, et un humain raciste est de droite,
mais un elfe raciste est de gauche...sans commentaire).
- L'Amt für den Milärischen
Narichtenwensen, ou AfMN
est l'Office pour le Renseignement Militaire qui
regrouppe en un seul bloc depuis le crash de 29 tous les
moyens de renseignements militaires. C'est lui qui
réalise tout le travail de contre-espionnage et
d'anti-terrorisme du BfV, en plus d'opérations
clandestines en Europe de l'est, de la surveillance des
corpos,... L'AMN a toujours au moins une commission
parlementaire sur le dos à cause d'une opération
clandestine quelque part.
- Le GSG 9 est une unité anti-terroriste, qui
collecte, depuis sa transformation en 2041, ses propres
renseignements sur le terrorisme (un effet des
perfomances du BfV). La quasi-totalité des effectifs
sont des cyborgs delta, mais elle n'a ni decker, ni mage
(va savoir pourquoi), ce qui la rend encore dépendante
de ses camarades. L'unité est téléguidé, d'une
manière ou d'une autre, par Saeder-Krupp.
Israël
Israël a
longtemps dû sa position internationale à l'efficience de ses
services secrets, plutôt qu'à la possession de l'arme
nucléaire. De nombreuses mégacorpos cherchent à améliorer
leurs liens avec Israël dans le seul but de coopérer avec le
Mossad.
- Le Mossad est la pierre angulaire du renseignement
israëlien. Sa véritable dénomination est Ha'Mossad
le'Mode'in ve'leTafkidim Meyouchadim (Institut
Central de Renseignements et d'Activités Spéciales,
Mossad étant le mot hébreu pour "Institut").
Le Mossad se charge du renseignement extérieur, même
sur des sujets n'interessant que de très loin Israël,
avec un penchant très prononcé pour les actions
clandestines. Son efficacité repose sur des réseau de
"coopérants" (sayanim), agents ou
indics, dans le monde entier. A l'origine, il s'agissait
de juifs de la Diaspora. Depuis, ce réseau c'est étendu
bien au delà (ainsi, la mégacorpo Keruba International
était véritablement noyauté par le Mossad avant sa
japanisation sous le nom de Renraku). Les actions
spéciales sont de la seule reponsabilité du Mossad,
grâce au kidon (le service spécial du Mossad)
ou au Sayeret Mat'kal (les forces spéciales de
l'armée). Depuis vingt ans, le Mossad et les Seraphims se chamaillent pour savoir qui sont les
meilleurs. ll est très probable que l'assassinat du
leader islamiste Hamad Cholilah en 2034 est au moins
bénéficié du concours du Mossad.
- Le SHABAK (Sherut Ha'Bitachon Ha'Klali,
Service de Sécurité Générale, autrefois le Shinbeth)
est le contre-espionnage israëlien. Il a gardé de la
"grande époque" du terrorisme palestinien
l'habitude de pratiquer des actions préventives contre
les menaces potentiels. Depuis l'accord de paix de 2029,
la souplesse juridique dont bénéficiait le SHABAK s'est
largement durci : moins d'écoutes téléphoniques et
moins de tortures (celà dit, il leur reste un certain
savoir-faire en la matière). Le SHABAK n'assure plus non
plus la sécurité des aéroports israëliens (assuré
par Knight Errant).
- L'Agaf Modiin ou AMAN regrouppe les renseignements militaires (à
ne pas confondre avec l'AfMN, le renseignement militaire allemand). Il
ne pratique que la collecte d'informations, par tous les
moyens possibles, y compris les satellites, les écoutes
électroniques ou les unités de reconnaissance du
Sayeret Mat'kal (forces spéciales). Les opérations
offensives sont demandée au Mossad. Même dans ses
commandes, l'AMAN est le plus modéré des services
israëliens. On raconte que les mages de l'AMAN aurait
redécouvert quelques techniques pas dégueu de la
Kabbale, mais qu'ils n'ont pas encore été autorisé à
les utiliser en opération.
le
Japon Impérial
Pro-corporatiste
et raciste, le Japon actuel est très bas dans notre échelle de
valeur. Ses services secrets sont un peu schizoïde, avec des
opinions sur leur propre système. En clair, leurs collaborations
tournent vite à l'aigre sur les sujets intérieurs.
- Le Naicho (ou NAIkaku CHOsa Shitsu : Office de
Recherche du Cabinet), dépend du Premier Ministre. Elle
est donc toujours dans la ligne du parti (c'est le cas de
le dire), même si ces directeurs ne sont pas toujours
d'accord. Elle est subdivisé en Section de la Sécurité
Publique. Au dernière nouvelle, il y en avait au moins
sept, mais cette comptabilité là n'a rien de public (S1
et S2 sécurité générale, S4 antidrogue, S5
contre-espionnage, S6 affaires internationales, S8 et S9
?, la S3, antiterrrorisme, n'existe plus).
- Le Johohonbu est le renseignement militaire japonais.
c'est le moins corporatiste (mais le plus raciste). De
plus en plus souvent appelé Japanese Intelligence Service (vous avez vu le nom qu'il se trimbale
sinon !). Il est comme le Naicho subdivisé en Section
(Section de la Garde Nationale), mais ne me demandez pas
combien il y en a, ou quel sont leur attribution. La
Section 4 est connu pour certaine de ces opérations
commandos. Il y a aussi une section de l'imagerie
satellite, et une autre pour le renseignement
électronique, mais j'ai pas les numéros.
- Enfin, et surtout, le JETRO (Japanese Exterior TRade Organization) qui
dépend du Ministère du Commerce International et de
l'Industrie. Donc, bienvenue chez Corpoland ! Ce service
est plus vendu aux mégacorpos que n'importe qui d'autre
sur Terre. Toutes les informations collectés par le
JETRO, espionnage économique et industriel, sont envoyés
au sociétés (japonaises évidement) concernés. A
l'occasion, le JETRO sert aussi de fusible pour les
opérations les moins propres des mégacorpos locales.
l'Australie
L'Australie est devenu au cours du siècle un
acteur de premier ordre du monde de renseignement, et une
puissance de la zone Pacifique. Ses service ont une énorme
activité, avec au premier rang l'indépendantisme aborigène (rappellons que l'ouest et le nord
du pays sont revenus au aborigènes) et l'occupation militaire de
la Nouvelle-Zélande.
- L'ONA (Office of National Assessments)
directement subordonné au Prime Minister, est le sommet
du renseignement australien. Il supervise et dirige à
l'occasion les autres services, et mène de lui même
quelques opérations extrèmement confidentielles (mais
toujours assez peu risquées). Le renseignement magique
(et plus particulièrement dans les terres aborigènes)
est de son unique ressort.
- L'ASIS (Australian Secret Intelligence Service),
ou MO9 est le service de renseignement et d'action
extérieur. Il collabore aussi peu que possible avec les
autres services australiens, mais énormèment avec ses
homologues étrangers et corporatistes. Il se classe
parmi les services les plus efficaces au monde, nottament
dans la zone Pacifique. Il entretient une relation
haine-amour assez particulière avec le renseignement
japonais. Il dispose d'un double QG, à Victoria Barracks
à Melbourne, et sur Swan Island, qui est aussi la base
d'entrainement de ses services spéciaux et un centre
d'espionnage électronique et orbital.
- L'ASIO (Australian Security Intelligence
Organization) est responsable du contre-espionnage, de
l'anti-terrorisme et ce genre de chose. Son actuel
Directeur-Général, Alan Desmond, proche du pouvoir
australien (sans doute grâce a quelques dossiers) en a
fait une énorme machine du renseignement. Elle a
quasiment supplanté l'ASIS en sur le territoire
australien et en Nouvelle-Zélande. L'ASIO est surtout au
coeur d'un énorme scandale concernant le financement et
l'encadrement de plusieurs groupes terroristes
anti-aborigènes.
- Le renseignement militaire australien
est fondu en une structure géante, la DIO (Defence Intelligence Organization). Elle
abat un travail considérable, presque plus que tout le
reste des forces armées australiennes. Parmi les points
notables (et reconnus dans le "milieu") : le
Defence Signals Directorate, qui est le 2e plus gros
participant à ECHELON derrière la NSA ; et le 1st
Australian SAS qui est une unité anti-terroriste très
active sur la zone Asie-Pacifique. Le SAS participe aussi
couramment à des opération d'arrestations de criminels
internationaux pour l'ONU.
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